samedi 24 décembre 2011

Le Mossad multiplierait les opérations visant à placer des écoutes sur les réseaux téléphoniques égyptiens...


Des sources égyptiennes ont fait état de plusieurs actes d’espionnage perpétrés par le service de renseignement du régime sioniste, le Mossad, depuis la victoire de la révolution égyptienne, pour s’infiltrer dans le réseau de communication de l’Égypte. Depuis le déclenchement de la révolution égyptienne, le 25 janvier, jusqu’au début de décembre 2011, 28 cas de tentatives d’infiltrations dans les réseaux téléphoniques fixes et mobiles, par le Mossad, ont été enregistrés. Toujours selon ces sources, ces écoutes visaient les entretiens des responsables de haut rang du gouvernement égyptien, les opposants et les membres des coalitions des jeunes de la révolution égyptienne. À la suite de ces révélations, des dispositifs de protection sophistiqués ont été mis en place sur les réseaux égyptiens. De plus les systèmes de communications ont été modernisés.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 24-12-2011)

vendredi 23 décembre 2011

Du matériel israélien destiné à la surveillance d'internet aurait été vendu à l'Iran...


Selon une enquête publiée par l'agence de presse économique Bloomberg, du matériel permettant la collecte de renseignements sur le réseau internet et fabriqué par une société israélienne a été, au cours de plusieurs années, transféré en Iran. L'enquête précise que le matériel avait été fabriqué par la société Allot et a pour fonction de fournir des informations sur les flux d'activité sur les réseaux. Le matériel avait été légalement livré à une société danoise. Celle-ci a systématiquement effacé, sur les emballages et le matériel, toutes traces pouvant révéler sa provenance. Puis le tout avait été ré-expédié à un certain Hussein domicilié en Iran. Selon le rapport, les sociétés israéliennes et danoises ne connaissaient le destinataire que par son prénom. On ne sait pas non plus qui étaient les clients d'Hussein et quelle a été la destination finale du matériel. Mais il est possible qu'il ait servi à réprimer les opposants à certains régimes au Proche-Orient. Le matériel en question permet en effet de stopper des messages SMS et email, et permet de suivre l'activité de certaines personnes sur le réseau internet.
(Kol Israël, le 23-12-2011)

jeudi 22 décembre 2011

Lawmakers attack government intelligence capabilities on North Korea...


Lawmakers are calling on the government to reexamine its North Korea intelligence gathering system.

During a meeting Friday of the National Assembly's special committee on the development of inter-Korean ties, ruling Grand National Party (GNP) Representative Kim Se-yeon said South Korea remains in the dark when it comes to information inside North Korea. Kim questioned whether the Unification Ministry has the capability to handle events of a contingency in North Korea.

Representative Shin Hak-yong of the main opposition United Democratic Party also criticized government agencies including the Defense Ministry and the National Intelligence Service for apparently having problems in their intelligence sharing network.

Unification Minister Yu Woo-ik and Defense Minister Kim Kwan-jin responded by promising efforts to foster experts on North Korean affairs and closely cooperate with the National Intelligence Service. Yu added he's prepared to hold talks with the North and he will take response measures while abiding by principles.

GNP Representative Ahn Hong-joon called for the government's proactive stance in order to establish new relations with North Korean successor Kim Jong-un.
(KBS World Radio, 2011-12-23)

Des systèmes d'écoutes de fabrication allemande découverts dans un district kurde de Syrie...


Les Syriens vont de surprise en surprise. Après les mesures hostiles décidées à l'encontre de leur pays par la Turquie, ou encore la Ligue arabe, ils viennent de découvrir, dans les villes frontalières, des appareils d'écoute téléphonique fabriqués en Allemagne. Ces systèmes sont installés sur les collines surplombant la ville frontalière kurdophone de Afrin. Certains éléments de ce système sont conçus pour localiser les communications et d'autres sont dotés de systèmes permettant l'écoute de communications sans fil à une distance de 40 kilomètres. Ces systèmes sont, sans aucun doute, destinés à l'opposition armée qui demande désormais l'intervention militaire de l'OTAN en Syrie.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 22-12-2011)

Mort du juge Borrel : des écoutes confirmeraient la thèse de l'assassinat...


L'armée française a été informée de l'assassinat du juge Bernard Borrel, via des écoutes de la police djiboutienne, peu après son décès, selon le témoignage d'un militaire français en poste à Djibouti à l'époque et révélé mercredi par la radio France Culture et consulté par l'AFP.

Magistrat détaché à Djibouti, Bernard Borrel a été retrouvé mort le 19 octobre 1995, le corps en partie carbonisé, en contrebas d'un ravin, à 80 km de Djibouti. L'enquête française a privilégié dans un premier temps la thèse du suicide avant de retenir celle d'un assassinat après de nouvelles expertises.

Ce témoignage provient d'un appelé en poste au sein d'une unité chargée des écoutes au sein de l'armée française à Djibouti à l'époque des faits.

"Un jour, j'ai entendu dire au centre qu'un homme avait été immolé par le feu par des personnes du nord du territoire à l'aide de jerricanes d'essence. C'était un Français qui avait été brûlé non loin du Goubet. C'était dans la ville d'Arta", a-t-il déclaré à la juge Sophie Clément en juillet.

Le corps de M. Borrel a été retrouvé près du Goubet.

"On n'était pas censé entendre les écoutes mais on vivait en permanence avec des militaires qui procédaient aux écoutes. C'était vers 11 heures-midi, je ne sais même pas si nous n'étions pas à table. L'information venait de sortir", a ajouté le témoin.

"C'était une information provenant de la surveillance des communications internes de la police djiboutienne", a-t-il précisé.


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vendredi 16 décembre 2011

Un drone américain capturé par l'Iran grâce au hacking de sa sonde GPS...


Entre stupéfaction et raillerie, la réaction occidentale à la capture du drone US par l'Iran n'a cessé de varier depuis une semaine. L'informaticien.com donne sa propre lecture de cet évènement et c'est peut-être le plus près de la réalité : « Un ingénieur iranien déclare que le drone aurait été capturé grâce à un hacking de sa sonde GPS, une faille pourtant connue des militaires américains ».

Le Christian Science Monitor vient de décrocher une belle exclusivité avec l’interview d’un ingénieur iranien en charge de trouver les secrets du drone RQ-170 Sentinel capturé par l’Iran. Cet ingénieur explique que les spécialistes iraniens de guerre électronique ont été capables de couper les communications de l’appareil, puis ont reprogrammé son GPS afin de faire croire à l’appareil qu’il allait se poser en Afghanistan.

« La navigation GPS est le point le plus faible » déclare cet ingénieur qui préfère garder l’anonymat pour des raisons évidentes. Les Iraniens ont utilisé une technique de brouillage de la liaison satellitaire, puis du « GPS spoofing » pour prendre le contrôle de l’appareil en modifiant les coordonnées de longitude et latitude au sein du drone. Ainsi, les Américains n’ont pas vu que l’appareil était hors de contrôle. Cette précision est importante car certains responsables américains s’en sont pris au président américain et aux militaires leur demandant pourquoi ils n’avaient pas détruit l’appareil afin d’éviter qu’il ne tombe aux mains de l’ennemi. Le fait que les pilotes officiels aient été complètement leurrés est une première explication.

L’ingénieur explique que ce piratage a été rendu possible par des techniques de « reverse engineering » effectuées sur des drones plus anciens capturés, photographiés ou abattus durant ces dernières années et en tirant parti de la faiblesse des signaux GPS, facilement manipulables, selon ses dires.

Plusieurs spécialistes interrogés par nos confrères ont confirmé que l’opération était possible et qu’elle était même documentée. « Je ne dirais pas que c’est facile, mais la technologie existe pour le faire » déclare Robert Densmore, un ancien officier américain spécialisé en guerre électronique.

Cette capture du drone US marque une nouvelle escalade dans la tension existant entre les États-Unis et l’Europe, d’une part, et l’Iran, d’autre part. Le Christian Science Monitor fait également référence à une autre affaire passée relativement inaperçue des médias occidentaux et qui est survenue durant l’automne. Elle concerne des déclarations du Général Moharam Gholizadeh, en septembre dernier. Ce spécialiste de la guerre électronique au ministère de l’Air iranien avait fait des déclarations assez fracassantes sur les possibilités iraniennes en matière de détournements de missiles ou de drones au travers du « re-pilotage » d’un GPS. L’interview avait été retirée du journal Fars News et le général, pourtant jeune, est mort le mois dernier d’une crise cardiaque. Plusieurs médias iraniens ont considéré ce décès comme suspect et imaginent que le général aurait pu être une nouvelle victime collatérale de la guerre sourde que se livrent les services secrets des différents pays.

Maîtrise technologique

Les Iraniens affirment qu’ils ont pratiquement percé tous les secrets du drone capturé. Le ministre de la Défense, Leon Panetta, a déclaré que les États-Unis continueraient à envoyer des drones afin de trouver des preuves d’un programme nucléaire militaire. Toutefois, le fait que les drones soient vulnérables devrait certainement compliquer le travail. Si certains commentateurs américains sont sceptiques, voire ironiques, quant à la maîtrise technologique des Iraniens, ils ne constituent pas la majorité. En effet, la plupart des observateurs considèrent désormais que l’Iran est à un niveau technologique très élevé, en témoigne le hack des certificats qui a permis notamment de retrouver les comptes email de 300 000 ressortissants iraniens. Plusieurs spécialistes ont estimé que cette attaque était, à l’instar de Stuxnet, de nature étatique et provenait d’Iran.

Le programme de surveillance et de capture des drones aurait démarré en 2007 et a été rendu public en 2009. Jusqu’à présent les captures et les destructions avaient été réalisées par des moyens conventionnels. L’utilisation de ce « hack » est une nouvelle illustration des avancées considérables réalisées par l’Iran en matière informatique.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 16-12-2011)

jeudi 15 décembre 2011

Les Occidentaux en passe de déployer une station d'écoutes en Jordanie, à proximité de la frontière syrienne...


La semaine dernière, selon un site jordanien, des officiels occidentaux ont demandé au roi Abdallah II l’autorisation d’installer une station de communications et d’écoutes électroniques, près de la frontière syrienne, afin d'inciter les officiers supérieurs syriens à renverser Bachar Al-Assad ou, tout du moins, à se rebeller contre le régime baasiste. Un poste de commandement de l’OTAN aurait été implanté près du village d’Al-Houshah, à quelques kilomètres de la base aérienne Roi Hussein située à Mafraq, à 10 kilomètres de la Syrie. Un avion américain en provenance d’Iraq aurait déposé des militaires américains sur la base aérienne Prince Hassan, à une centaine de kilomètres de Mafraq. La base aérienne de Mafraq est périodiquement utilisée, depuis les années 60, comme centre d’entraînement d’opposants syriens par la CIA, le MI-6 et l’Aman, le service de renseignement militaire israélien. La plupart des opérations de déstabilisation de la Syrie - coups d’États militaires, terrorisme, soulèvements - y ont été organisées avec des officiers félons ou avec les Frères musulmans. La dernière en date, en mars dernier - la manifestation sanglante de Deraa, à quelques kilomètres de là - rappelle l’opération Straggle montée en 1956, par les mêmes services secrets, pour renverser un gouvernement syrien dit pro-soviétique...
(La voix de la République islamique d'Iran, le 15-12-2011)

mardi 13 décembre 2011

Un logiciel utilisé par les drones américain en passe d'être décoder par l'Iran...


Un député iranien a déclaré lundi que l'armée iranienne comptait lancer une rétro-ingénierie sur le drone américain abattu par la défense aérienne iranienne la semaine dernière, a rapporté lundi la chaîne de télévision Press TV. Le vice-président de la commission sur la Sécurité nationale et la Politique étrangère du Majlis, le parlement, Hossein Ebrahimi, a déclaré que compte tenu des capacités scientifiques de son armée, l'Iran dupliquerait le drone américain dans un avenir proche, selon le média. Par ailleurs, un autre député iranien, Parviz Sorouri, a déclaré lundi que l'Iran était en phase finale de décodage du logiciel d'un drone américain et trouverait son mécanisme de fonctionnement dans un avenir proche.
(Radio Chine international, le 13-12-2011)

samedi 10 décembre 2011

Les structures de la CIA au Liban dévoilées par un député du Hezbollah...


Après le démantèlement de réseaux d’espionnage opérant pour le compte des services de renseignement américains au Liban et les révélations faites, ces derniers mois, par le Hezbollah, sur les noms des officiers libanais agissant pour le compte de la CIA, la résistance islamique est allée encore plus loin en dévoilant des informations secrètes sur la structure de cette agence au Liban. S’exprimant à la chaîne de télévision Al-Manar vendredi soir, le député du Hezbollah au parlement libanais, Hassan Fadlallah, a fourni les noms, les dates de naissances, les surnoms des agents, le mécanisme de leur action, et les objectifs de leur recrutement. La résistance islamique a dévoilé, en détails, l’action de renseignement de la CIA à partir d’un siège permanent dans l’un des bâtiments appartenant à l’ambassade américaine à Awkar. À partir de ces bureaux sont dirigés et commandés de nombreux réseaux répartis sur le sol libanais, dans les différents secteurs : politique, social, pédagogique, sanitaire, médiatique, militaire… S’agissant de la structure de ce bureau, Hassan Fadlallah a indiqué que son directeur est l’officier Daniel Patrick McFeely, né le 29-6-1966. Il a succédé à Louis Kahi, qui a quitté ce poste début 2009. Selon le reportage diffusé par Al-Manar, McFeely usurpe l’identité d’un diplomate travaillant à l’ambassade américaine et dirige une équipe de dix officiers, chargée de commander l’action d’espionnage au Liban et de poursuivre les réseaux sécuritaires appartenant aux renseignements américains. Ils opèrent tous sous le titre de diplomate à l’ambassade américaine, mais d’autres officiers viennent souvent de l’extérieur pour une courte période, quelques semaines ou quelques mois, afin d’exécuter une mission bien déterminée et de partir ensuite. Parmi ces officiers, le reportage a cité : Rosendo Cedano, Chuck Lisenbee, Sarah Getter, ainsi que d’autres officiers agissant sous de faux-noms tels que Nick, Jim, Yousef, Lisa et John. La résistance islamique a également révélé le programme d’action des agents dont les lieux des rencontres entre les officiers et les agents, dans des lieux publics, comme Starbox, McDonalds, Pizza Hut, ainsi que des rencontres tenues dans la voiture d'officiers portant une plaque diplomatique de l’ambassade américaine. Le reportage a souligné que le bureau de renseignement américain au Liban recrute des gens parmi les différentes classes sociales libanaises et charge les agents de recueillir des renseignements sur tout ce qui se rapporte aux membres et aux responsables du Hezbollah : leurs numéros de téléphone, leurs adresses, les écoles de leurs enfants, leurs difficultés financières, les noms des responsables du Hezbollah dans les villages, les armes en leur possession, les dépôts d’armes, les structures logistiques de la résistance, les cadres recherchés par les Israéliens afin de les assassiner. Ce même reportage souligne que, depuis la guerre de juillet 2006, les renseignements américains ont mobilisé leurs agents pour détecter toute action de la résistance. Ils fournissaient aux Israéliens toutes les informations sur le terrain permettant aux sionistes de bombarder certains immeubles et cibles civiles. Les Américains basés à Awkar ont demandé à leurs agents et espions des informations sur les institutions médicales, sociales et financières réparties sur tout le territoire libanais. Dans certains cas, les renseignements américains mettaient à la disposition des officiers israéliens certains réseaux de la CIA. Et de dévoiler l’ampleur de la corruption financière au sein de la CIA, les officiers confisquant l’argent réservé à leurs espions. Enfin, le député Hassan Fadlallah a appelé l’État libanais à convoquer officiellement l’ambassadrice américaine à ce sujet.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 10-12-2011)

vendredi 9 décembre 2011

Les opérations imputées au Mossad : légendes ou réalité ?


À en croire les médias internationaux, à chaque fois qu’un terroriste, espion ou spécialiste du nucléaire décède, c’est le Mossad qui en est responsable. L’aura qui entoure l’institut israélien pour les renseignements et les affaires spéciales est si grande qu’on lui prête des opérations aux quatre coins du monde. Les dernières en date ont eu lieu ces dernières semaines en Iran et au Liban, où des explosions mystérieuses ont touché des sites stratégiques. Hamodia recense quelques-unes des opérations imputées au Mossad depuis sa création en 1951.

« Faute de ruses, un peuple tombe » : la devise du Mossad tirée des Proverbes du roi Salomon correspond parfaitement à l’image que le monde se fait de l’agence d’espionnage israélienne. « Rusée » est effectivement l’un des adjectifs qui lui convient le mieux. À tel point qu’à chaque fois qu’on entend parler d’une explosion mystérieuse ou d’un scientifique éliminé dans son sommeil, les médias internationaux se pressent de chercher l’empreinte du Mossad et, en général, de la trouver.

« Selon des informations provenant de l’étranger » : ces quelques mots accompagnent régulièrement les articles publiés par la presse israélienne lorsqu’elle fait état d’opérations menées à l’extérieur des frontières israéliennes que le Mossad ne revendique pas ou refuse de revendiquer ou encore n’a pas besoin de revendiquer, n’étant aucunement impliqué… Car si le Mossad ne dément ni ne confirme jamais son implication, il est prêt, lorsque c’est dans l’intérêt de l’État, à endosser la responsabilité de certaines opérations comme l’alya des Juifs du Maroc dans les années 1956-1964, l’infiltration d’espions du Mossad au Soudan et en Éthiopie pour faciliter l’alya des Juifs d’Éthiopie, la capture du criminel nazi Adolf Eichmann en Argentine, l’élimination des terroristes de Septembre noir, responsables de la mort des onze sportifs israéliens aux Jeux olympiques de Munich, l’affaire des vedettes de Cherbourg…
Mais le plus souvent, seuls les médias étrangers affirment clairement que le Mossad est derrière telle ou telle opération.

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mercredi 7 décembre 2011

Un nouveau système d'espionnage israélien découvert au Sud Liban...


Le 3 décembre la résistance islamique a découvert un dispositif d’espionnage installé au Sud Liban et destiné à espionner le réseau de télécommunication du Hezbollah. Dès sa découverte l’entité sioniste l’a fait exploser. Un quotidien libanais arabophone a recueilli des informations sur ce dispositif. Le dispositif d’espionnage israélien découvert par la résistance islamique au Sud Liban la semaine dernière, servant à espionner le réseau de télécommunication, a été installé après la guerre de juillet 2006. Sachant que la région où il se trouvait, en l’occurrence entre Srifa et Deir Keyfa dans le Caza de Tyr, avait été occupée par les soldats israéliens durant un certain temps. Le dispositif est de grande taille et comprend trois parties : Un appareil d’écoute et de diffusion, de grandes batteries, un appareil de retransmission qui capte les informations émises par le premier. Son installation nécessite une vingtaine de personnes au moins et plusieurs jours de travail, ce qui n’est pas faisable de nos jours car cette région est sous haute surveillance de la part de la FINUL, de l’armée libanaise et de la résistance. Le dispositif a été retrouvé dans une oliveraie. Sur le flan d’un mur, a été installé le premier appareil, dans un trou de deux mètres, puis branché aux fils du réseau de télécommunication de la résistance. À trois mètres de ce dernier a été installée la batterie, à une profondeur de 60cm. Elle permet d'alimenter les autres appareils pour une durée d’une quinzaine d’années. L’appareil de retransmission a été installé sur la colline d’en face et semblait être dirigé vers la montagne de Cheikh, dans le Golan syrien occupé, où se situe l’un des plus importants centres d’écoutes et d’espionnage dans la région. Bien que la région soit souvent fréquentée par ses habitants qui y possèdent des vignobles et des oliveraies, ce n’est que lorsqu’un groupe de résistants qui exploraient l’endroit pour examiner le réseau ont découvert le dispositif que les drones israéliens l’ont fait exploser. Ils ont attendu qu’il s’éloigne pour le faire. Ce qui distingue ce dispositif par rapport à ceux découverts l’an dernier dans la montagne du Barouk, et de Sannine est qu’il a la capacité d’autodestruction. Celle-ci se déclenche une fois reçu le signal émis par les drones d’espionnage. Il semble que de nombreux dispositifs similaires soient implantés au Sud Liban et que la résistance est en train de les rechercher. Deux autres dispositifs avaient été découverts en octobre 2009 et décembre 2010, dans le village de Wadi Al-Qaysiyya, et près de la région de Marjeyion.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 07-12-2011)

dimanche 4 décembre 2011

Le renseignement électronique à l'origine du démantèlement d'un réseau de la CIA au Liban et en Iran...


La revue américaine Time et l’institut Hadson ont indiqué que le démantèlement d'un réseau de la CIA au Liban et en Iran, constitue un coup dur pour le service de renseignement américain. À ce propos, un ancien agent de la CIA au Liban, Robert Baer, a déclaré : « L’agence en question n’a pas fait de commentaire pour l’instant, mais j’ai entendu dire que la CIA a reçu un coup dur et qu’elle tente toujours de comprendre ce qui s’est vraiment passé ». Pour Baer, le coup que la CIA a reçu au Liban en mai dernier, était encore plus sérieux que l’incident iranien, et la CIA évalue toujours les dégâts, un processus qui pourrait nécessiter des années. Le rédacteur des questions de renseignement au quotidien Time a souligné que le Hezbollah a réussi à démasquer les agents américains à travers l’analyse des communications, expliquant qu’il s’agit d’une action de renseignement électronique qui utilise un programme informatique capable de fouiller dans des trillions de Gigabits de données de communications téléphoniques, à la recherche d’appels non habituels, comme une série de courts contacts, et à travers l’analyse des rapports GPS liés aux sociétés de communications téléphoniques.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 03-12-2011)

mercredi 23 novembre 2011

Au Pakistan, l'autorité de régulation des télécommunications veut censurer les SMS...


Une mesure qui choque et qui menace les libertés au Pakistan : l'autorité de régulation des télécommunications a envoyé une liste d'environ 1 500 mots aux opérateurs de téléphones mobiles. Elle leur demande tout simplement de bloquer les SMS qui contiendraient des mots considérés comme vulgaires, obscènes ou nocifs, parmi ces mots Jésus Christ. C'est une séance peu banale qui s'est déroulée hier à l'assemblée provinciale du Sindh, dans le sud du Pakistan. Salim Khokhar, un député chrétien, déclenche un sit-in pendant les débats. Il proteste contre une liste rédigée par PTA, l'Autorité pakistanaise de régulation des télécommunications. Dans cette liste PTA demande aux opérateurs de téléphones mobiles de bloquer les SMS qui contiennent des mots et des expressions jugés obscènes, 1 500 en tout. Problème : le nom de Jésus Christ figure dans la liste. Inacceptable pour le député de la province qui interpelle ses collègues : Comment souhaitez joyeux Noël à un proche ou célébrer une fête chrétienne dans ces conditions ? Sur internet et dans la presse les Pakistanais fustigent cette initiative au nom de la liberté d'expression. L'autorité de régulation des télécommunications assure que ce n'est qu'un document de travail et que la liste pourrait être réduite à une douzaine de mots. Les chrétiens pakistanais peuvent donc espérer que le nom du messie soit retiré. Après le coup de colère de Salim Khokhar, le ministre de la Justice de la province du Sindh a condamné l'initiative de PTA. Il a affirmé que Jésus était un prophète aux yeux des musulmans.
(Radio Vatican, le 23-11-2011)

jeudi 17 novembre 2011

Les insurgés syriens en possession de systèmes de communication par satellite provenant des États-Unis et d'Israël...



Des sources syriennes ont fait part de la découverte de systèmes de communication satellitaires fabriqués par les États-Unis et par le régime sioniste. Selon l'agence de presse syrienne SANA, les forces de sécurité de la Syrie ont saisi, aujourd'hui, sur les émeutiers syriens, de nouveaux systèmes de communication satellitaires modernes et sophistiqués fabriqués par les États-Unis et le régime sioniste. Selon ce rapport, les émeutiers armés se servaient de ces appareils pour coopérer avec les chaînes d'information satellitaires dans le but de répandre de fausses nouvelles et de créer des troubles et des affrontements entre Syriens. « Les émeutiers armés étaient même équipés de systèmes de communication sans fils sophistiqués grâce auxquels ils écoutaient les conversations des forces de sécurité et s'informaient de leurs déplacements et opérations » a ajouté ce rapport. En mettant la main sur ces systèmes de communication, des numéros des chaînes télévisées satellitaires qui avaient une approche hostile à l'égard de la Syrie, comme Al-Arabiya, BBC, France 24, Al-Djazira, ainsi que ceux de quelques personnalités arabes et étrangères impliquées dans les derniers événements de Syrie, ont été découverts et identifiés.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 17-11-2011)

mercredi 16 novembre 2011

Chinese military using Australian station to spy on warships...


A SATELLITE ground station in the West Australian desert is being used by the Chinese military to help locate Australian and US navy warships in the region.

The explosive claim has been made by the nation's foremost expert on space-based espionage, Des Ball, who says the government may have unwittingly acted against the national interest by allowing China to use the ground station at Mingenew to track Beijing's space satellites.

"This ground station would help China's space-based listening devices to more precisely locate the electronic emissions from aircraft carriers, destroyers and other navy ships," Professor Ball told The Australian.

"We're talking serious stuff here . . . why was the construction of this station never announced?"

Professor Ball's claims come as US President Barack Obama today begins a two-day visit to Australia, during which he will unveil plans for closer defence ties in a move that reflects growing concerns about China's military rise in the region.

The government established the satellite ground station at Mingenew, 400km north of Perth, in 2009 and gave approval for China's space agency to use the station to track Chinese satellites.


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jeudi 10 novembre 2011

L'Iran entouré par des bases des services de renseignement occidentaux...


Un député iranien a déclaré mercredi que l'Iran était entouré par des centres d'espionnage occidentaux près de ses frontières dans les pays voisins.

Zohre Elahian, un membre de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Parlement iranien, a déclaré que le Mossad israélien, le CIA américain et le MI6 britannique ont établi des centres d'espionnage dans les frontières ouest, nord et est de l'Iran.

Les agences d'espionnage ont leurs centres en Irak, en Afghanistan, au Pakistan, au Turkménistan et en Azerbaïdjan près des frontières de ces pays avec l'Iran, a affirmé Elahian cité par l'agence de presse Mehr.

Les bases d'espionnage sont chargées de l'organisation d'actions terroristes et les opérations de renseignement contre l'Iran et ses citoyens, a déclaré le législateur.

L'Iran partage la frontiere avec la Turquie et l'Irak à l'ouest, l'Azerbaïdjan, l'Arménie et le Turkménistan au nord, l'Afghanistan et le Pakistan à l'Est. Dans le sud de l'Iran se trouve le golfe Persique et la mer d'Oman.

L'Iran a déclaré que durant ces dernières années, il a arrêté un certain nombre d'espions israéliens et américains dans le pays.

En 2009, l'Iran a arrêté trois randonneurs américains pour avoir pénétré illégalement dans le pays et les a accusé d'espionnage. Le randonneuse, Sarah Shourd, a été libéré en 2010 contre une caution de 500 000 dollars américains, et les deux autres, Shane Bauer et Josh Fattal, ont été libérés en septembre 2011, également sur une caution de 500 000 dollars américains chacun.
(Radio Chine international, le 10-11-2011)

mardi 8 novembre 2011

Des techniciens indiens et chinois pour réaliser des écoutes à Fidji...


Selon l’ancien colonel Tevita Mara, ex-supporter et désormais opposant fidjien qui a fui son pays le 8 mai dernier, des écoutes téléphoniques et le piratage des messageries électroniques à grande échelle ont débuté en 2007 à la demande de Franck Bainimarama, et avec l’active complicité de Vodafone Fidji, le principal opérateur impliqué. Tevita Mara affirme que Franck Bainimarama a lu des transcriptions d’écoutes en sa présence, et lui aurait dit qu’il avait fait venir des experts de l’étranger pour mettre en place ces écoutes. «Des techniciens d’Inde et de Chine», souligne Tevita Mara sur la radio néo-zélandaise internationale. Riposte de Vodafone Fidji : l’opérateur affirme ne même pas disposer de la technologie nécessaire pour mettre en place des écoutes, et martèle qu’il n’a jamais laissé un seul militaire accéder à ses installations.
(Radio Australie, le 08-11-2011)

mardi 1 novembre 2011

Scotland Yard trackers operate fake mobile base stations...


London's Metropolitan Police are using fake base stations to intercept mobile-phone calls, not to mention running a covert air wing, according to reports over the weekend.

The base stations come from Leeds-based Datong plc, and can blanket a 10km2 area within which every mobile phone is tracked and monitored, according to the Guardian newspaper. Meanwhile the Telegraph has been busy tracking down £3m worth of fixed-wing aircraft, which, the paper alleges, the Met has been using without oversight from the Metropolitan Police Authority.


Neither claim has been admitted, or denied, by the Metropolitan Police force, which provided us with the usual comments about "proportionate responses" and "covert policing". Neither claim is particularly shocking, but even spooks would be impressed to see the police running a 14-seater Cessna registered to a shell company consisting of nothing more than a rented post-office box.

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dimanche 30 octobre 2011

Les hackers mercenaires de Kadhafi et le Big Brother libyen...


Avant que ne débute la rébellion, le régime avait comme priorité la surveillance et le collecte de données. Quand a démarré l'insurrection, le régime a mis en place à la hâte des technologies de filtrage et de blocage, et fait appel à des spécialistes étrangers pour attaquer les sites et les communications de l'opposition.

Sous la dictature, la Libye collectait d'énormes quantités de données. Au mois d'août, le Wall Street Journal a décrit les équipements de surveillance construits dans un complexe de sécurité abandonné par Narus, filiale détenue à 100% par Boeing et Amesys. Cette dernière appartient à la société française Bull, soutenue par l'Etat.

Après le début du printemps arabe, des développements supplémentaires ont été menés dans un centre de surveillance d'Internet, géré par le ministère de l'Intérieur à Tripoli et connecté aux agences de sécurité libyennes.

Les employés de LTT ont aussi raconté le recrutement de hackers chinois et d'Europe de l'Est, afin de bloquer les sites clés de l'opposition ainsi que les médias sociaux comme Facebook ou YouTube.

Ce sont également eux qui ont lancé des campagnes de hameçonnage destinées à voler des mots de passe Facebook, et créé des virus afin d'infecter les ordinateurs des utilisateurs et de compromettre la sécurité de leurs données.

Ils ont aussi décrit la mise en place d'outils destinés à écouter les conversations sur Skype, les réseaux mobiles et Internet par des connexions VSAT. Leurs déclarations confirment que des cyber-attaques sur les sites d'opposition [libyens] ont été menées depuis la Serbie, commme Global Voices le rapportait.


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lundi 12 septembre 2011

Libya Caught Jamming Sat-Phones


If you’re traveling in a place like Iraq, the easiest way to get in touch with the outside world is with a Thuraya satellite phone. But for six months last year, Thuraya’s signals were jammed by a mysterious adversary. But now, Space News reports, investigators have discovered the source of the jamming: the Libya government, a shareholder in the phone company.


Industry officials said that because of Thuraya’s operations in the Middle East, and because Thuraya’s owners include government-owned telecommunications operations from most Arab and Muslim governments in the region, the jamming was immediately assumed to be of U.S. or Israeli origin.

But as the weeks passed and the jamming did not cease or change characteristics, Thuraya was forced to maneuver its large satellite, located at 44 degrees east in geostationary orbit, to try to isolate the location.



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Israeli drones jamming phones in Gaza?


The Israeli military pioneered the use of unmanned planes — mostly to spy on their foes. In the 2006 war with Hezbollah, the drones racked up tens of thousands of flight hours on watch duty. But Palestinians in Gaza now say the drones are being used for much, much more. The AP reports:

Palestinians say they know when an Israeli drone is in the air: Cell phones stop working, TV reception falters and they can hear a distant buzzing. They also know what’s likely to come next — a devastating explosion on the ground.

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DPRK Monitoring ou la Corée du Nord vue à la radio...


La Corée du Nord, thème de ce hors-série, est également le sujet du nouveau blog créé par Alain Charret et Yves-Marie Peyry. DPRK Monitoring, ou la Corée du Nord vue à la radio, qui sera exclusivement consacré à cette dernière dictature communiste. Il se veut être un exemple concret de recueil de renseignements ouverts grâce à l'écoute radio.

En vérité, on sait assez peu de chose de ce pays très difficile à pénétrer même pour les services de renseignement. L'exploitation des sources ouvertes reste donc un des rares moyens d'en savoir un peu plus. Ce sera l'objectif de ce nouveau blog qui tentera d'isoler les informations concernant la République populaire démocratique de Corée en écoutant notamment sa radio nationale, La voix de la Corée, sa voisine du sud, Radio Corée international, ainsi que l'un de ses rares alliés Radio Chine international. Bien entendu toutes les informations concernant la RPDC entendues sur les autres radios écoutées quotidiennement au profit de Renseignor seront rapportées dans ce blog.

L'accent sera mis sur l'activité des services de renseignement ainsi que sur son armée de pirates informatiques, l'exportation de son savoir-faire en matière de missiles balistiques et d'armes de destruction massive, ainsi que sur les divers trafics destinés à générer des devises étrangères. Une attention toute particulière sera également portée à son armée, sa modernisation, son entraînement, ainsi que sur ses nombreuses provocations.

Ce hors-série de Renseignor rassemble des exemples du type d'informations qui peuvent être recueillies exclusivement par l'écoute de la radiodiffusion internationale. DPRK Monitoring ou la Corée du Nord vue à la radio devrait être en mesure d'exploiter ponctuellement d'autres sources non moins intéressantes...



Alain Charret

samedi 27 août 2011

Discrète visite à Benghazi du chef des services de renseignement soudanais...


Le 25 août dernier, Mohamed Atta, le directeur du National Intelligence and Security Services, les services soudanais de renseignement, s'est rendu à Benghazi où il a rencontré des responsables du Conseil national de transition.

Selon certaines sources, Mohamed Atta aurait remis au CNT une lettre du président soudanais. Omar Hassan Al-Béchir y adresserait ses félicitations au CNT pour le succès de la révolution libyenne.

Lors de cette visite le directeur du NISS aurait évoqué le cas du leader du Mouvement pour la justice et l'égalité actif principalement au Darfour, Khalil Ibrahim, réfugié en Libye depuis mai 2009. À cette époque Khalil Ibrahim, fuyant le Darfour, s'était vu refuser l'entrée sur le territoire tchadien et contraint de se replier en Libye. Khartoum a déjà demandé, à plusieurs reprises et sans succès, son extradition.

De son côté, le Mouvement pour la justice et l'égalité, inquiet du sort de son leader, a demandé au CNT et à l'OTAN d'assurer sa sécurité.

À noter que le Soudan a discrètement soutenu la rébellion libyenne. En mars Khartoum a autorisé l'OTAN à survoler son territoire dans le cadre de la mise en place de la zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Libye.

En juin dernier, Mohamed Atta s'est rendu secrètement en France. À cette occasion il aurait fourni des renseignements sur les forces gouvernementales libyennes aux services de renseignement français.
Khartoum a confirmé ce déplacement en France, mais nie le fait que la situation libyenne ait été évoquée.

jeudi 2 juin 2011

Bactérie tueuse : doit-on craindre une action de terrorisme bactériologique ?


Habituellement responsable de la plupart des épidémies de gastroentérites qui frappent chaque hiver la France, la bactérie Escherichia coli (E. coli) est généralement inoffensive. Certaines de ses souches qualifiées de entérohémorragiques (ECEH) peuvent être beaucoup plus dangereuses. L'une d'elles est particulièrement résistante. Il s'agit de celle connue sous l'appellation 0104:H4. Alors que l'E. Coli s'attaque habituellement aux sujets les plus faibles, et notamment les jeunes enfants et les personnes âgées, 0104:H4 frappe sans distinction jeunes et vieux, forts et faibles. Plus résistante, elle provoque notamment des crampes abdominales et des diarrhées susceptibles d’évoluer vers des diarrhées sanglantes (colite hémorragique). La fièvre et les vomissements peuvent également s’observer. On estime que l’infection à ECEH peut évoluer en syndrome hémolytique-urémique chez 10% des patients atteints, avec un taux de létalité de 3 à 5%1.

C'est en Allemagne que cette épidémie semble avoir débuté. Les spécialistes ont tout d'abord pensé que le foyer d'infection provenait de concombres importés d'Espagne. Une hypothèse maintenant infirmée ; les scientifiques allemands, comme leurs confrères européens, tentent toujours d'identifier l'origine de l'épidémie, ainsi que son ou ses vecteurs. Plusieurs pays européens sont touchés, mais jusqu'à présent les personnes contaminées avaient toutes effectués un séjour en Allemagne.

Il semble important de noter que cette bactérie a été découverte pour la première fois dans la péninsule coréenne en 2005.

Cette dernière information ne peut que retenir l'attention de certains spécialistes proches des services de renseignement et au fait des ambitions de certains groupes terroristes à visées internationales comme Al-Qaïda.

La Corée du Nord qui, l'année dernière, a envoyé par le fond un destroyer sud-coréen et quelques temps après bombardé une île sud-coréenne faisant de nombreuses victimes, est connue pour disposer de plus d'une dizaine de virus et bactéries pouvant être utilisés pour des armes biologiques2. Isolée par l'ensemble de la communauté internationale, l'un des seuls moyens dont elle dispose pour obtenir des devises consiste à vendre son armement ainsi que son savoir faire en matière d'armes de destruction massive.

Sans vouloir adhérer à la théorie du complot, difficile de ne pas évoquer la possibilité que cette bactérie provienne d'un laboratoire nord-coréen.

En poussant encore un peu plus loin ce raisonnement, il serait possible que P'yongyang ait vendu la bactérie à Al-Qaïda qui a juré de venger la mort d'Oussama Ben Laden tué par des commandos américains début mai.

Le 30 mai 2011, Abu Sulaiman Al-Nasser, un leader d'Al-Qaïda bien connu, annonçait qu'il voulait mettre l'Europe à feu et à sang cet été3.

Si cette subite et encore inexplicable épidémie était effectivement le fruit d'une action terroriste, pourquoi n'a-t-elle pas encore été revendiquée ?
Une des explications possibles : il pourrait tout simplement s'agir d'un test qui précèderait une opération de plus grande envergure.

Parmi les éléments surprenants, on pourra noter que, bien que l'épidémie ne touche que des pays européens, le 1er juin 2011 la Chine a annoncé se mettre en état d'alerte contre la bactérie4.
N'oublions pas que Pékin est le seul allié de la Corée du Nord dont le leader, Kim Jong-il, a effectué la semaine précédente une visite officielle de plusieurs jours en Chine. Les autorités chinoises auraient-elles été informées par leur voisin et non moins allié ?

Ajoutons à cela la récente annonce de P'yongyang menaçant à nouveau son voisin du sud de réponses qualifiées de « physiques » à ses actions de propagande, et interrompant une ligne téléphonique de communication militaire reliant les deux frères ennemis de la péninsule.

Autant d'éléments qui provoquent bon nombre d'interrogations, à défaut d'adhérer aveuglément à la théorie du complot. Une théorie qui n'est peut-être pas aussi invraisemblable qu'on pourrait le croire. En effet, certaines sources indiquent que les services de renseignement allemands, BND, auraient un « vague soupçon » selon lequel la bactérie aurait été volontairement placée dans des lieux de distribution européens de primeurs. Toujours selon la même source, le BND5 aurait participé, près de Paris, à une réunion dans un centre d'opérations conjoint américano-européen sur le sujet de ce qu'il conviendrait maintenant d'appeler pandémie ECEH.

Il ne reste plus qu'à espérer qu'il ne s'agisse là que d'élucubrations d'un romancier en mal de scenario et que l'été ne sera pas aussi chaud que le prédit Abu Sulaiman...


Alain Charret.

lundi 9 mai 2011

La communication téléphonique qui a causé la perte d'Oussama Ben Laden


Ce n'était un secret pour personne Oussama Ben Laden avait totalement proscrit les moyens modernes de communication tels que téléphones mobiles ou satellitaires, internet et autres systèmes radioélectriques. Tout cela pour déjouer le système d'écoute planétaire opéré par les États-Unis et leurs alliés. D'ailleurs ce fut un des indices qui ne fit que renforcer les interrogations des services de renseignement américains lorsqu'il découvrirent que le complexe d'Abbottabad ne disposait d'aucune ligne téléphonique, pas plus que de connexion internet. Et pourtant, selon des sources proches des services de renseignement s'exprimant sous couvert d'anonymat dans la presse d'outre-atlantique, c'est une communication téléphonique qui serait à l'origine de la perte de Ben Laden.

Selon certaines informations, l'année dernière, un appel téléphonique destiné à Abou Ahmed Al-Kuwaiti, connu des services de renseignement comme étant un des messagers de confiance employé par le chef d'Al-Qaïda, a mené les Américains à s'intéresser à la résidence d'Abbottabad.
En fait cette communication ne comportait pas d'informations véritablement confidentielles. Cependant l'attention des analystes fut attirée. L'ami d'Al-Kuwaiti demanda à celui-ci où il se trouvait maintenant. Al-Kuwaiti répondit qu'il était retourné « auprès des gens avec qui il était auparavant ». Cette phrase fut suivie d'un silence estimé plus long que la normale. Connaissant la proximité d'Al-Kuwaiti avec Ben Laden, les services américains estimèrent qu'il pouvait se trouver avec le chef d'Al-Qaïda lui-même.
À partir de ce moment tous les moyens humains et techniques de surveillance furent employés afin de suivre le moindre geste d'Al-Kuwaiti. C'est ainsi que fut découverte la résidence d'Abbottabad.
Parmi les indices relevés lors de cette longue surveillance, il fut établi que pour utiliser leurs téléphones portables, les habitants de la résidence s'éloignaient à au minimum 90 minutes de route d'Abbottabad. Ceci afin de déjouer toute tentative de localisation des services d'interception.
Après de longs mois de surveillance intensive et d'analyses, les autorités américaines furent convaincues que le chef d'Al-Qaïda se cachait à Abbottabad. Barack Obama donna l'ordre d'intervenir.
C'est donc bien encore une fois un renseignement technique qui est à l'origine de cette opération...

mercredi 4 mai 2011

DES REVOLUTIONS ARABES SPONTANEES ?


Devant le vent de révolution qui secoue le monde arabe, il est difficile de ne pas s'interroger. La question est de décrypter dans quelle mesure cette concomitance des évènements dans différents pays peut être la résultante d'une opération concertée. Ce qu'on est autorisé à penser sachant que des cadres du mouvement du 6 avril, qui a permis de chasser du pouvoir Hosni Moubarak, ont été formés à ce qu'il convient d'appeler « la révolution non violente ». Et il ne s'agirait pas d'un cas isolé. Il se trouve que de nombreux activistes de pays de l'Est, mais également du monde arabe et même d'Amérique du Sud, ont participé à des séminaires organisés en Serbie par CANVAS.


CANVAS : qui se cache derrière cet acronyme ?

CANVAS (Center for Applied Non Violent Action and Strategies1) n'est autre qu'une émanation du mouvement serbe OTPOR.
OTPOR, signifiant « Résistance » en serbe. Il s’agit d’une organisation politique considérée comme un acteur majeur de la chute de Slobodan Milosevic. Son logo est un poing noir fermé sur fond blanc.
Après la chute du régime de Milosevic, OTPOR est devenu le Centre de formation pour l'action non-violente. Des séminaires de formation à la lutte contre la fraude électorale dans les pays de l'Est furent les premières actions internationales de CANVAS.
Le but avoué de CANVAS est d'utiliser le savoir-faire d'OTPOR en matière de mouvements de protestation non violente.
Ainsi on retrouve la trace des « consultants » de CANVAS dans la révolution des roses en Géorgie.
En Ukraine, l'organisation PORA, très active durant la « révolution orange », a envoyé, en avril 2004, 18 de ses membres à Novi Sad, dans le nord de la Serbie, pour y suivre un séminaire. On notera également que peu avant les élections, un membre de CANVAS a été expulsé d'Ukraine.
CANVAS est également en étroite relation avec ZUBR, en Biélorussie, Cette organisation de droits civiques proche des idées occidentales a été créée en 2001 dans le but de renverser le régime d'Alexandre Lugachenko.
En 2002 on retrouve les traces de CANVAS au sein de l'opposition vénézuélienne.
En janvier et février 2011, le logo de CANVAS – qui est resté celui d'OTPOR - est brandi par les étudiants égyptiens du mouvement du 6 avril qui manifestent dans les rues du Caire. Mohamed Adel, ce blogueur égyptien un temps incarcéré pour délit d'opinion, reconnaît avoir effectué un stage auprès de cette organisation durant l'été 2009.


Quid du financement ?

Pour faire fonctionner une telle structure des moyens financiers considérables sont nécessaires.
CANVAS est-il financé par de riches philanthropes ayant pour seul but de construire un monde meilleur et de faire progresser la démocratie ?Si l'on en croit Srdja Popovic, fondateur d'OTPOR et actuel directeur de CANVAS, il ne reçoit que des subventions privées et aucun fonds gouvernementaux.
Il semble en fait qu'il en soit tout autre. Selon certaines sources généralement bien informées, deux organismes américains contribuent largement à son financement. Il s'agit de l'International Republican Institute et Freedom House.

- L'International Republican Institute2 est une organisation politique liée au Parti républicain. Son financement provient en majorité du gouvernement fédéral américain.
À noter qu'au printemps 2000 le colonel à la retraite de l'armée américaine Robert Helvey a été envoyé en Serbie par l'International Republican Institute pour diriger des séminaires sur la non violence au profit des militants d'OTPOR. Des milieux proches des services de renseignement occidentaux vont jusqu'à déclarer qu'en fait l'IRI ne serait rien d'autre qu'une façade de la CIA.

- Freedom House3, dont l'objectif affiché est d'exporter les valeurs américaines, a été dirigée par James Woolsey. Est-il utile de rappeler que ce dernier fut directeur de la CIA de 1993 à 1995 ?
À noter que la blogueuse égyptienne Israa Abdel Fattah, cofondatrice du mouvement du 6 avril, a fait partie d'un groupe d'activistes invité par Freedom House. Elle a pu ainsi participer à un programme destiné à former des « réformateurs politiques et sociaux ». Le tout était financé par l'USAID (United States Agency for International Development). Cette agence américaine a notamment pour but de réduire la pauvreté et de promouvoir la démocratie et la croissance économique.

Dans ces conditions, difficile de ne pas voir là une action, voire une manipulation, américaine, même si elle n'est pas forcément le seul fait de l'administration Obama.
Encore plus étonnant, si la presse occidentale a été très discrète à ce sujet - à de rares exceptions -elle a même passé sous silence le lien entre les évènements en cours dans le monde arabe et CANVAS. Et même les dénonciateurs habituels de la théorie du complot sont restés étonnamment muets...


Alain Charret
Rédacteur en chef de RENSEIGNOR
Mai 2011

vendredi 29 avril 2011

La France accuse un grand retard dans la modernisation des outils d’investigation sur Internet.



Selon nos informations, les forces de police et de gendarmerie ne réalisent
que 500 interceptions par an sur Internet, soit tout juste 10 % de leurs
besoins, contre 35 000 écoutes téléphoniques. Internet reste un refuge pour
les délinquants. Selon nos informations, la France accuse un grand retard
dans la modernisation des outils d'investigation sur Internet. Les
interceptions téléphoniques - « les écoutes » - ont très largement fait
face à l'explosion du nombre de téléphones (... Lire la suite ...)

mardi 19 avril 2011

Leila Trabelsi accusée d'être un agent du Mossad...



Un ancien garde du corps du Président tunisien déchu, a dévoilé dans une deuxième vidéo qu’il a publié après la révolution du 14 janvier, que Leïla Trabelsi épouse Ben Ali est un agent du Mossad Israélien depuis 1990.

La même source a affirmé que l’ancienne « Première dame de la Tunisie » avait des liens étroits avec les opérations d’assassinat des leaders palestiniens à Tunis au début des années 90.


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lundi 18 avril 2011

Le hacking téléphonique de la rébellion libyenne


Un article accrocheur du Wall Street Journal relate comment quelques experts en télécommunications piratèrent l’opérateur national Libyana afin de créer Free Libyana, le réseau de téléphonie mobile de la rébellion libyenne.
Le hub infrastructurel central de Libyana (firme publique dirigée par la famille Kadhafi) étant situé à Tripoli, le Colonel Kadhafi se fit un plaisir de priver l’insoumise région orientale de services télécoms et internet. Les insurgés libyens furent donc condamnés à utiliser des drapeaux pour communiquer ou pour signaler les mouvements de troupes adverses...


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vendredi 25 mars 2011

Des opérations spéciales américaines interceptées par des amateurs...


En écoutant les messages radio du trafic aérien, un radio amateur néerlandais a mis au jour une opération de guerre psychologique en Libye effectuée par avion des forces spéciales américaines.

Branché sur les fréquences radio, ce radio amateur installé aux Pays-Bas recense les vols civils et militaires et met ensuite ses découvertes sur Twitter.

A l'affût, il écoute sur des fréquences non cryptées les échanges entre avions militaires et centres de contrôle aériens.

Ces messages contiennent des informations sur la position de l'appareil afin notamment d'éviter des collisions avec des avions civils.


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Les avions de transport américains ont diffusé un message à l'attention de la Libye. Radio Japon s'est procuré cet enregistrement diffusé en anglais, en français et en arabe par des avions EC-130J. Le message demande aux navires libyens de rester ancrés dans les ports. Il explique que les troupes fidèles au colonel Kadhafi violent la résolution des Nations unies appelant à la cessation des hostilités en Libye. Il indique que les navires seront immédiatement attaqués et détruits s'ils essaient de quitter leur port d'attache. Les États-Unis avaient déjà diffusé divers messages par avion pendant les offensives aériennes en Afghanistan à partir de 2001 et en Iraq à partir de 2003. Il s'agit, en Libye aussi, d'une tactique psychologique.
(Radio Japon international, le 25-03-2011)

L'armée libyenne sur écoute...


Les soldats libyens ont le moral dans les chaussettes. Ce sont les "écoutes" réalisées par la France qui tendent à l'accréditer, a déclaré ce matin le ministre de la défense, sur Europe 1, pendant que son confrère des affaires étrangères parlait, lui, sur RTL.
Les fameuses écoutes laisseraient entendre que les troupes pourraient être amenées à changer d'avis sur leur engagement. Il ne doit pas y avoir d'artilleurs et de tankistes dans le lot puisque les canons du colonel K., eux, continuent à tonner.
Sujet qu'on essaie en général d'éviter, comme celui, plus vaste encore du renseignement, les écoutes sont évidemment un élément de température non négligeable pour mesurer l'état d'une armée adverse (1)...


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lundi 21 mars 2011

Bull lance un système de brouillage unique au monde


Dédié à la lutte antiterroriste, Bull Shadow est un système de brouillage capable de bloquer les engins explosifs télécommandés. À cet effet, il rompt la communication entre la télécommande et l’unité explosive. Ce dispositif prend en charge les outils les plus modernes, comme les téléphones sans fil (DECT) et les téléphones portables (GSM).
Toute la problématique des systèmes de brouillage est leur potentielle dangerosité en terme de santé. En effet, pour être efficaces, ils doivent ‘couvrir’ tous les signaux radio. Autant ce problème est acceptable lors d’utilisations militaires d’un tel produit (il pourra alors même brouiller des communications ennemies), autant il devient plus ennuyeux lorsque le brouilleur est chargé de fonctionner en continu dans un espace public (gare, aéroport, etc.)...




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samedi 12 mars 2011

Les signaux GPS brouillés par la Corée du Nord...


La Corée du Nord est accusée d'avoir brouillé, au cours du week-end, la réception GPS au nord-ouest de la zone métropolitaine de Séoul. Selon le gouvernement sud-coréen, des signaux de brouillage ont été détectés en provenance du pays communiste, plus précisément des bases militaires situées à Haeju et Gaesong. La réception GPS a été momentanément interrompue dans certaines zones des villes de Séoul, d'Incheon et de Paju. Au Sud, on y voit la volonté du Nord de perturber les exercices militaires conjoints actuellement menés par la Corée du Sud et les États-Unis. Ce blocage des signaux GPS a eu lieu à des intervalles de cinq à dix minutes. Selon l'armée sud-coréenne, la technologie utilisée par les nord-Coréens proviendrait de Russie. Aucun dommage n'a été rapporté. Ce n'est pas la première attaque de ce type. En août dernier, lors d'exercices similaires menés par Séoul et Washington, le régime de Kim Jong-il aurait aussi tenté de brouiller leurs signaux GPS.
(KBS World radio, le 07-03-2011)

La semaine dernière, la Corée du Nord a envoyé de puissants signaux de brouillage pour tenter de bloquer des instruments de communications militaires, ce qui a perturbé les GPS de la Corée du Sud, plus particulièrement dans certaines régions au nord-ouest de sa capitale. On croyait alors que le pays communiste avait envoyé ces signaux depuis ses bases militaires situées à Gaeseong, près de la frontière sud-coréenne. Mais on a appris aujourd’hui qu’il les avait envoyés aussi depuis les monts Geumgang. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui le ministre sud-coréen de la Défense, Kim Kwan-jin, lors d’une réunion à laquelle ont assisté des représentants du gouvernement et du parti de la majorité. C’est la première fois qu’un responsable gouvernemental a fait état des monts Geumgang. Kim a par ailleurs annoncé que les opérations militaires n’avaient pas été perturbées, car la majorité des équipements militaires est équipée de GPS à usage militaire et que son ministère ferait remplacer dorénavant les équipements utilisant le GPS commercial par ceux de GPS militaire.
(KBS World radio, le 09-03-2011)

vendredi 11 mars 2011

Un ingénieur palestinien en déplacement en Ukraine enlevé par le Mossad...


Le Commissariat des Nations unies pour les réfugiés affirme qu'Israël détient un ingénieur palestinien de la bande de Gaza qui avait disparu alors qu'il se trouvait en Ukraine, le mois dernier. Selon l'agence de presse Reuters, la police ukrainienne a ouvert une enquête et, à en croire la presse étrangère, l'ingénieur palestinien, Dirar Abou Seesi, était l'un des directeurs de la centrale électrique de la bande de Gaza. Les médias étrangers ajoutent que, selon sa sœur, Dirar Abou Seesi aurait été capturé alors qu'il était dans un train à destination de Kiev. La sœur de l'ingénieur poursuit qu'il était en Ukraine en compagnie de sa femme, elle-même d'origine ukrainienne, et de leurs six enfants. Le but du voyage aurait été le dépôt d'une demande de citoyenneté ukrainienne pour l'ingénieur. La chaîne de télévision Al-Djazira cite par ailleurs des proches de Dirar Abou Seesi qui soupçonnent les autorités ukrainiennes d'avoir collaboré avec les services secrets israéliens. En fin, le site internet du Hamas affirme qu'une avocate israélienne a rendu visite à Abou Seesi et qu'il serait détenu dans la prison de Shikma, dans les environs d'Ashkelon.
(Kol Israël, le 11-03-2011)

Ukraine : le Mossad soupçonné d'avoir enlevé un ingénieur palestinien


La police ukrainienne a indiqué jeudi vérifier des informations sur la mystérieuse disparition en Ukraine d'un ingénieur palestinien, dont l'épouse estime qu'il a été kidnappé par le service des renseignements israéliens, le Mossad. L'épouse ukrainienne de ce Palestinien nommé Dirar Abu Seesi, Veronika, a demandé à la police ukrainienne de l'aider à "établir l'endroit où se trouvait son conjoint", a indiqué jeudi à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Intérieur, Sergui Bourlakov.



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dimanche 23 janvier 2011

A Bruxelles, les chefs d'Etats européens écoutés par le Mossad...


Pendant huit ans, de 1995 à 2003, les services secrets israéliens (Mossad) ont pu écouter, à l’aide de dispositifs d’écoute très sophistiqués, tout ce qui se disait dans le bâtiment « Juste Lipse » à Bruxelles entre les chefs d’Etat britannique, français, allemand, espagnol et autrichien, les ministres et leurs conseillers. L’enquête sur ce cas d’espionnage à grande échelle est désespérément lente et a été complètement bâclée par la Sécurité d’Etat belge ainsi que par le procureur fédéral. Les auteurs sont connus mais ils restent impunis.



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vendredi 21 janvier 2011

Rencontre secrète entre Hamas et Mossad...


L'agence de presse PRA (Palestine Press Agency) rapporte que Saleh Ahuri, responsable européen du Hamas, accompagné d'un groupe de dirigeants de son organisation, aurait secrètement rencontré en République Tchèque, des responsables du renseignement israélien, à l'initiative de ces derniers.


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