samedi 15 décembre 2012

Washington aurait demandé l'autorisation d'implanter un centre écoute en territoire libanais...

Les États-Unis, via leur ambassade à Beyrouth, ont demandé au ministère libanais des Télécommunications un permis pour la construction d'une base de télécommunications sur le sol libanais. Selon As-Safir, cette demande qui reflète en effet le souhait de l'armée américaine mettra en danger la sécurité des conversations téléphoniques. Toujours selon le journal, les États-Unis ne lésinent sur aucun moyen pour mettre sur écoute les citoyens libanais et collecter des informations au sujet du Hezbollah et d'autres formations jugées sensibles. Le ministère des Télécommunication a répondu que le sujet va être évoqué au conseil des ministre et que la partie américaine serait informée de la réponse.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 15-12-2012)

samedi 24 novembre 2012

Les réseaux de téléphonie mobile de plusieurs villes pakistanaises suspendus afin de limiter les risques d'attentats...

Au Pakistan, pendant la fête de l'Achoura, la police a suspendu le réseau de téléphonie mobile de plusieurs villes pour prévenir les attaques déclenchées d'habitude à distance par des téléphones portables.
(Kol Israël, le 24-11-2012)

vendredi 23 novembre 2012

Gaza : Les négociations qui ont permis l'instauration d'un cessez-le-feu ont été dirigées par le Mossad...

Le chef de Mossad a dirigé les négociations entre Tel-Aviv et le Caire pour la mise en place du cessez-le-feu, a révélé le quotidien sioniste Yedioth Aharanot. Tamir Pardo a dirigé les négociations entre Tel-Aviv et le Caire. La semaine dernière, Pardo s'est rendu au moins deux fois au Caire pour s'entretenir avec le chef du service de renseignement de l’Égypte, Raafate Chahata, de l'avant texte de l'accord sur le cessez-le-feu. Barak a salué Pardo.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 23-11-2012)

mardi 20 novembre 2012

Un centre écoute israélien aurait été pris pour cible par le Hamas...

La branche armée des Comités de la résistance populaire de la Palestine a annoncé avoir pris pour cible une base des services de renseignement militaires israéliens. Selon Farsnews citant Al-Manar, les brigades du martyr Nasser Salaheddin, la branche armée des Comités de la résistance populaire, ont annoncé qu'elles avaient tiré des roquettes Grad contre la base d'Urim abritant des services de renseignement militaires du régime sioniste.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 20-11-2012)

NB : A noter que la base d'Urim abrite des installations appartenant à l'Unité 8200 chargée des interceptions pour les différents services de renseignement de l'Etat hébreu...

samedi 17 novembre 2012

Les dirigeants du Hamas tués par Israël auraient été localisés grâce à des stylos et montres espions...

Selon des sources bien informées, c'est au cours de la récente visite de l'émir du Qatar à Gaza que les domiciles de plusieurs cadres du Hamas ont été identifiés. La visite de l'émir et de son épouse à Gaza a permis aux agents informateurs de localiser les maisons et les bureaux de certains dirigeants du Hamas. En effet, l'émir et la délégation qui l'accompagnait ont offert à ces dirigeants des stylos et des montres ayant des mini GPS adaptés aux satellites espions israéliens. L'assassinat de Ahmad Jabari, commandant en chef des brigades Al-Qassam, dans un raid aérien sioniste, s'explique ainsi. Un autre commandant de ces mêmes brigades a été tué dans la nuit de vendredi à samedi, avec ses trois frères, dans une frappe qui a directement visé sa maison et a causé sa mort et celle de ses trois frères. Ces analyses font état de la volonté de l'émir du Qatar de transférer les habitants de Gaza en Jordanie, une fois la chute de la dynastie hachémite devenue effective.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 17-11-2012)

vendredi 16 novembre 2012

Une unité nord-coréenne spécialisée dans l'écoute des téléphones portables...

Le 4e corps d’armée nord-coréen qui a bombardé l’île sud-coréenne de Yeonpyeong en 2010 disposerait d’une unité d’écoute téléphonique qui a pour cible la côte ouest sud-coréenne, à proximité de la frontière intercoréenne. Cette information a été dévoilée aujourd'hui par un responsable de l’infanterie de marine sud-coréenne. Pour être plus précis, la capacité d’écoute téléphonique au moyen des réseaux sans fil pourrait atteindre jusqu'à 140 km au sud de la ligne de démarcation. Le Nord s'adonnerait à ces actions illégales à partir de la plupart des réseaux sans fil couvrant les régions de Gimpo et de Ganghwa et les îles au nord-ouest du pays, dont Yeonpyeong. Par mesure de précaution, l’infanterie de marine sud-coréenne a ordonné aux soldats des bases militaires stationnées dans ces zones de communiquer via un système codé et non plus avec leurs téléphones portables lors de leurs opérations et leurs entraînements. Le 4e corps d’armée en question est un contingent qui a pour vocation de surveiller la région ouest du territoire dont la province de Hwanghae. L’ancien leader nord-coréen Kim Jong-il et son fils, l'actuel dirigeant Kim Jong-un, ont visité ensemble cette unité en novembre de l’année dernière.
(KBS World radio, le 16-11-2012)

samedi 3 novembre 2012

En Égypte, arrestation de 18 personnes accusées d'espionnage au profit d'Israël...

Selon les sources sécuritaires égyptiennes, un réseau d'espionnage au profit d'Israël a été démantelé et 18 personnes ont été arrêtées. Selon le quotidien égyptien Al-Watan, ces espions ont été localisés puis arrêtés au Caire et à Suez. Depuis la victoire de la révolution en Égypte, quatre réseaux d'espionnage au profit du régime sioniste ont été découverts. Selon les résultats préliminaires de l'enquête ouverte à cette fin, ces gens collectaient des informations sur les activités de la bourse, les salaires des employés, les informations militaires et celles liées au passage de navires à travers le canal stratégique de Suez.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 03-11-2012)

vendredi 2 novembre 2012

Israël recruterait des centaines de spécialistes en informatique afin d'affronter la cyberarmée iranienne...

Selon Yedioth Aharonot, les autorités israéliennes ont recruté des centaines de techniciens et experts des sciences cybernétiques pour affronter la cyberarmée iranienne. Israël manque de cybersoldats, d'où les efforts de l'armée pour recruter des adolescents talentueux dans les rangs de l'unité 8200. Le projet aura coûté des centaines de millions de dollars au gouvernement, et au regard des besoins pressants d'Israël de grossir les rangs de cette armée, les appels à coopérer sont lancés aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur d'Israël, toujours selon le journal. Le général Aviv Kouchavi, chef des services de renseignement israéliens, a octroyé quelque 518 millions de dollars à ce projet. Le projet contiendra un double volet offensif et défensif. Notre ennemi numéro 1 est l'Iran, qui a annoncé avoir créé une cyberarmée, dans l'objectif d'attaquer les États-Unis et Israël.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 02-11-2012)

Israël reconnaît officiellement être responsable de l'élimination d'Abou Jihad...

Les autorités d'Israël ont reconnu officiellement l'élimination d'Abou Jihad, vice-leader palestinien de Yasser Arafat. Selon les médias locaux, les soupçons concernant la participation des services spéciaux israéliens à l'assassinat de Jihad ont été confirmés jeudi, la censure militaire ayant rendu publique l'information sur une opération spéciale réalisée en 1988 en Tunisie. Le journal Yedioth Aharonot publiera une interview recueillie auprès du commandant de l'opération visant à éliminer Jihad, de son vrai nom Khalil Al-Wazir, qui dirigeait l'aile militaire du Fatah et a inspiré toute une série d'attentats contre Israël.
(La voix de la Russie, le 01-11-2012)

mercredi 31 octobre 2012

Une brigade spéciale du Mossad aurait pour mission d'éliminer les scientifiques irakiens...

Selon une agence de presse, une brigade composée de 30 à 40 agents du Mossad est présente en Iraq et elle a pour mission d'identifier et de tuer les savants atomistes et les physiciens irakiens. Les agents qui servent les intérêts d'Israël dans le cadre de ce groupe terroriste ont la nationalité palestinienne, libanaise et irakienne et un certain Al-Bayr, un palestino-libanais, dirige cette brigade. Selon une source bien informée, cette brigade est installée dans un quartier non loin du théâtre national de Bagdad et son siège est entouré de plusieurs églises. Les agents en question se rendent de temps à autre à l'église pour tromper la vigilance des forces de sécurité et les habitants du quartier. Ils sont équipés d'armes du dernier cri et ne visent pas seulement l'élimination des scientifiques. Les personnalités politiques et religieuses figurent également sur leur liste noire. Depuis l'invasion US de 2003, plus de 1 000 savants ont été tués à Bagdad et dans d'autres villes. Selon cette source, des pays du golfe Persique, tout comme la Turquie, coopéreraient à ce projet d'élimination de savants irakiens.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 31-10-2012)

samedi 27 octobre 2012

Le réseau de téléphonie mobile pakistanais bloqué pour prévenir d'éventuels attentats...

Au Pakistan, les autorités ont bloqué le réseau de téléphonie mobile pendant quatre heures, hier, au moment de la grande prière. Il s'agissait en fait de prévenir d'éventuels attentats taliban ou de militants d'Al-Qaïda.
(Médi-1, le 27-10-2012)

lundi 22 octobre 2012

A Taïwan, polémique sur la sécurité des téléphones portables utilisés par le Bureau à la sécurité nationale...

Le Directeur du Bureau à la Sécurité Nationale, Tsai Der-sheng, a indiqué aujourd’hui qu’il n’existe aucun risque de piratage ou d’écoute des téléphones portables utilisés par le personnel de son Bureau. En réalité, Tsai Der-sheng répondait à l’inquiétude des députés quant à la fiabilité de la firme chinoise Huawei. Tsai Der-sheng a donné le gage aux députés de la sécurité optimale des téléphones des membres de son Bureau, spécialement conçus à cet effet : « Si vous utilisez l’équipement de protection d’informations élaboré par le Bureau à la Sécurité Nationale, nous pouvons garantir ces restrictions de sécurité. Si vous utilisez tout autre téléphone normal, nous ne pouvons rien garantir. » Selon le Bureau à la Sécurité Nationale, ces téléphones spéciaux sont munis d’un système fiable assurant le caractère secret et ultra-protégé des conversations, sachant que ce système n’est infaillible que si les deux parties recourent à ce type d’appareil. Précisons que les doutes émis par les députés taiwanais viennent d’un récent rapport du congrès américain exigeant du gouvernement américain de ne pas travailler avec l’opérateur chinois Huawei. Certains députés taiwanais jugent crédible le risque de voir les autorités chinoises recourir aux services de Huawei pour un usage illégal, d’autant que plusieurs opérateurs taiwanais utilisent cette même infrastructure. Quant à ce risque d’écoute illégale via la firme chinoise, Tsai Der-sheng n’a ni démenti, ni confirmé ce risque, soulignant seulement que, Taiwan étant un pays libre, les citoyens taiwanais jouissent de la liberté de choisir leur propre opérateur. (Radio Taïwan international, le 23-10-2012)

jeudi 9 août 2012

Israël aurait intercepté des communications téléphoniques en lien avec l'attentat de Burgas...

Les services secrets israéliens ont intercepté plusieurs conversations téléphoniques entre le Liban et Burgas au cours des mois qui ont précédé l'attentat. C'est ce qu'a indiqué un haut responsable du gouvernement israélien au journal New York Times. Le nombre de ces conversations, souligne-t-il, était nettement plus important au cours des trois jours ayant précédé l'attentat. Israël, indique-t-il, connait l'identité des interlocuteurs libanais, mais pas celle de ceux de Burgas, mais ne révèlera pas cette identité pour ne pas que les Libanais impliqués ne sachent qu'ils sont sur écoute.
Des sources sécuritaires haut placées en Allemagne ont par ailleurs indiqué au journal que l'Union européenne ne compte pas prendre de mesures contre le Hezbollah sur la seule base d'une multiplication des conversations téléphoniques entre le Liban et Burgas. Selon cette même source, l'Union européenne émet des doutes sur les estimations d'implication directe de l'organisation dans l'attentat de Burgas et émet l'éventualité que l'Iran ait eu recours à des personnes s'identifiant au Hezbollah.
(Kol Israël, le 09-08-2012)

jeudi 28 juin 2012

Des secrets technologiques de Samsung et LG dérobés par les employés d'une société israélienne...

Le parquet sud-coréen a arrêté les responsables d’une affaire d’espionnage industriel concernant la technologie de pointe sud-coréenne en matière d’écrans. Il s’agit de sept employés d’une entreprise étrangère qui travaille en partenariat avec Samsung et LG. Ils sont accusés d’avoir volé les schémas de circuit de la matrice active OLED ou AMOLED que les deux concurrents sud-coréens ont mis au point chacun pour réaliser un écran de grande taille de 55 pouces. Selon le parquet, ces voleurs auraient pris en photo ces schémas qu’ils ont ensuite transmis à leur entreprise basée en Israël, stockés dans une clé USB. Ces données précieuses seraient également tombées dans les mains des concurrents chinois. Samsung et LG ont consacré un investissement colossal, plus d’un milliard de dollars chacun, au développement de cette technologie-clé qui leur permettra de diriger le marché de l’écran de la télévision de prochaine génération. Selon certaines estimations, le chiffre d’affaires de ce marché juteux atteindrait presque les huit milliards de dollars. (KBS World Radio, le 28-06-2012)

À Damas, le Mossad soupçonné d'avoir abattu un cadre de la branche armée du Hamas...

On notera l'assassinat près de Damas d'un cadre de la branche armée du Hamas. Des individus ont pénétré dans sa maison, l'ont abattu et ont pris des dossiers. Le groupe palestinien accuse le Mossad, les services secrets israéliens. Interrogé sur le sujet ce matin le ministre israélien de la Défense n'a ni confirmé ni démenti. (Médi-1, le 28-06-2012) Le Hamas a confirmé ce matin que l'un de ses responsables avait été assassiné cette semaine à Damas et accuse les services secrets israéliens. Le Hamas avait reconnu, dans un premier temps, ne pas savoir qui avait tué Kamel Ghannaja, aussi connu sous le nom de Nizar Abou Mujahed, mais soupçonne aujourd'hui le Mossad d'être derrière cet assassinat. L'homme, qui était le bras droit de Mahmoud Al-Mabhbouh assassiné à son hôtel à Dubaï en 2012, aurait lui été tué à son domicile, dans la banlieue de Damas et par un commando. Une source du Hamas à Gaza a indiqué qu'il y avait des marques de torture sur le corps de Kamel Ghannaja. Réaction ce matin du ministre de la Défense sur les ondes de Kol Israël. Ehud Barak estime que d'autres qu'Israël en avaient après Ghannaja. Une allusion à une possible implication du régime de Damas évoquée depuis ce matin par l'opposition syrienne. (Kol Israël, le 28-06-2012)

vendredi 11 mai 2012

Selon un journal turc, le Mossad et la CIA seraient impliqués dans les attentats perpétrés en Syrie...


Selon le journal turc Idilink, les services de renseignement américains et israéliens, soit la CIA et le Mossad, ont recours aux attentats suicide comme moyen de provocation. Ils les ont utilisés en Iraq et aujourd'hui ils les appliquent en Syrie. Dans un rapport publié lundi, donc avant le double-attentat suicide de ce Jeudi, en Syrie, Idilink souligne que les agents de la CIA et du Mossad mènent des attaques dans plusieurs pays différents, notamment, l'Iraq, le Pakistan et la Libye. Le périodique turc rappelle comment les agents du Mossad et de la CIA ont fait exploser des mosquées en Iraq pendant l'occupation américaine du pays, dans le but d'opposer les chiites aux sunnites et vice-versa. Et d'ajouter : Ces agents ont réussi à atteindre leur objectif, puisque la majorité des attentats suicide ont visé les mosquées des chiites et des sunnites, pire encore, on a rapporté que ces attentats étaient soient des opérations suicide ou des bombes humaines, et que le kamikaze a été tué dans l'attentat, alors que la vérité est tout autre » Le journal note que la CIA et le Mossad utilisent la même méthode maintenant en Syrie, pour tenter de contrecarrer et bloquer le plan de l'envoyé spéciale de l'ONU et de la Ligue arabe, M. Kofi Annan, au point que le Premier ministre turc, Recep Tayyep Erdogan, s'est empressé de déclarer que les attentats suicide en Syrie ont provoqué la rupture du cessez-le-feu. Citant des analystes politiques, le journal souligne que les attentats suicide augmenteront certainement dans les prochains jours en Syrie, et que le Mossad et la CIA sont derrière ces actes violents, voire que ces attentats sont des outils de provocation pour répandre le chaos en Syrie. Et de conclure sur une triste note : « Malheureusement la frontière turque servira de base arrière pour les agents du Mossad et de la CIA, en d'autres termes, nous pouvons dire que la Turquie est partenaire dans ces actes criminels dirigés contre le régime en Syrie ».
(La voix de la République islamique d'Iran, le 11-05-2012)

vendredi 27 avril 2012

Ousted Chinese Leader Is Said to Have Spied on Other Top Officials

BEIJING — When Hu Jintao, China’s top leader, picked up the telephone last August to talk to a senior anticorruption official visiting Chongqing, special devices
detected that he was being wiretapped — by local officials in that southwestern metropolis.

The discovery of that and other wiretapping led to an official investigation that helped topple Chongqing’s charismatic leader, Bo Xilai, in a political cataclysm that has yet to reach a conclusion.

Until now, the downfall of Mr. Bo has been cast largely as a tale of a populist who pursued his own agenda too aggressively for some top leaders in Beijing and was brought down by accusations that his wife had arranged the murder of Neil Heywood, a British consultant, after a business dispute. But the hidden wiretapping, previously alluded to only in internal Communist Party accounts of the scandal, appears to have provided another compelling reason for party leaders to turn on
Mr. Bo.

mercredi 11 avril 2012

Stellar Wind ou comment les États-Unis espionnent Internet...


Vous souvenez-vous du réseau Echelon qui espionne les télécommunications et les courriers électroniques de toute la planète en fonction de mots clés ? Ce système, piloté par Washington, inclut les participations également du Canada, du Royaume-Uni et de l’Australie. Eh bien Echelon, c’était une « petite brise de mer » par rapport à Stellar Wind. Avec ce projet l’espionnage des communications mondiales va passer au stade industriel. Et cette fois, la NSA refuse de partager les informations recueillies avec quiconque. Stellar Wind est au profit du complexe militaro-industriel américain, et de lui seul. Le projet a été voté par le Congrès en 2008 sous Georges W. Bush, malgré l’opposition du ministère de la Justice qui jugeait Stellar Wind inconstitutionnel. En effet, il s’agit d’espionner toutes les communications qui entrent aux USA, mais aussi à l’intérieur, donc de légaliser la surveillance permanente de la population américaine. Grâce à quelques astuces législatives le projet fut néanmoins voté relativement discrètement. Le principe de base est assez simple. Il s’agit de surveiller au moyen du DPI (Deep Packet Inspection) tout ce qui passe par le réseau. Le système fonctionne à deux niveaux. Soit comme Echelon à partir d’un système de mots clés : dès que le mot apparaît dans une communication le système enregistre toutes les données de l’utilisateur (contenus des e-mails, des tchats, pages internet consultées, comptes bancaires, feuilles d’impôt...). Soit en partant des numéros de téléphone, du moment que le système a un numéro de téléphone, il enregistre toutes les données correspondantes automatiquement. La NSA a donc bien sûr signé des accords avec les plus gros opérateurs de téléphonie tel que AT&T, pour avoir accès à toutes leurs données. Mais Stellar Wind ne veut pas simplement faire du super Echelon. Le but est aussi d’explorer le Deep Net : les pages ou les données sécurisées par mot de passe, certains échanges de fichiers par FTP, les communications cryptées des gouvernements, etc…
(La voix de la République islamique d'Iran, le 10-04-2012)

samedi 31 mars 2012

Le Mossad aurait notablement réduit ses activités sur le territoire iranien...


Le magazine américain Time rapporte, d'après des responsables de la sécurité en Israël, que le Mossad a réduit ses activités en Iran de 20% ces derniers mois, notamment en ce qui concerne les opérations d'élimination de scientifiques nucléaires, de sabotages dans des bases militaires et dans la collecte de renseignements. Un des responsables a expliqué au Time que le Premier ministre Netanyahu s'inquiétait des risques que l'on découvre les activités secrètes du Mossad en Iran, apparemment à cause de son traumatisme suite à l'affaire Meshaal, en Jordanie, dans les années 1990. Le magazine d'ajouter que le Mossad n'appréciait pas la décision de Benjamin Netanyahu.
(Kol Israël, le 31-03-2012)

vendredi 16 mars 2012

Une unité spéciale de l'armée israélienne pour exploiter les réseaux sociaux...


Pour la première fois de son histoire l’armée israélienne a mis en place une unité spéciale chargée de contrôler les sites internet. Le quotidien israélien Ha'aretz qui a fait cette révélation, a précisé que l’unité en question a pour mission d’entrainer les soldats à collecter des informations, via internet, sur tous les pays arabes grâce à des technologies très sophistiquées. « Les renseignements militaires israéliens utilisent l’internet et Facebook pour communiquer avec les jeunes arabes et tisser des relations entre les jeunes arabes et des soldates de l’armée israélienne en prélude à leur recrutement au service du Mossad » explique le Ha'aretz. À ce propos, la chaine de télévision israélienne a diffusé un reportage sur l’unité de détection internet affiliée aux services de renseignement. Cette unité est responsable de suivre les derniers développements des révolutions arabes. Les soldats et soldates ont appris l'arabe et le persan. Ils passent jour et nuit à détecter les changements au Moyen-Orient, et à planifier le recrutement de nouveaux agents. La télévision en question a montré une soldate en train de correspondre avec des personnes dans les forums de sites du soi-disant jihad mondial. De plus, le reportage montre des soldats en train de suivre les comptes internet des dirigeants des révolutions arabes en Syrie et en Égypte sur les réseaux sociaux tels Facebook et Twitter, alors que d’autres suivent les comptes d’Iraniens. « Lorsque les soldats entrent en contact avec une personnalité quelconque, leur responsable entame une étude psychologique sur la base de tout ce qui figure dans ce compte. L’objectif en est de recruter cette personne et de connaitre quel sera l’avenir des révolutions arabes selon le point de vue de ce dernier » dit-on dans ce reportage télévisé.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 16-03-2012)

mardi 21 février 2012

Israël aurait décidé unilatéralement de mener des frappes militaires contre les installations nucléaires iraniennes...



La situation au Moyen-Orient a rarement été aussi explosive. Non seulement un vent de révolution, qui n'a rien de vraiment spontané, souffle sur le monde arabe, mais Israël semble avoir décidé unilatéralement de frapper militairement les installations nucléaires iraniennes. À tel point que certains experts s'accordent à dire que la question n'est plus de savoir si Israël frappera l'Iran, mais quand ?

Jusqu'à maintenant l’État hébreu s'était limité à des opérations clandestines visant à saboter ou tout du moins à ralentir l'avancée du programme nucléaire iranien. Téhéran de son côté multiplie les opérations visant à disséminer et à renforcer ses installations afin de rendre beaucoup moins efficaces d'éventuelles frappes.

Bien que se refusant pour le moment à envisager l'option militaire, Washington renforce considérablement son dispositif militaire dans la région. Son principal souci étant le risque que l'Iran décide de bloquer le détroit d'Ormuz par lequel transite 20% du commerce mondial et 40% des exportations de pétrole brut.

Tout se jouera dans les prochains mois puisque, selon les spécialistes, pour que les frappes israéliennes soient efficaces il faut qu'elles aient lieu avant l'été.

Cette montée en puissance est telle que tous les indices indiquant l'imminence de telles opérations sont aisément détectables par une simple lecture de la presse internationale. C'est précisément ce que vous propose ce Renseignor hors-série.




Télécharger Renseignor hors-série...



lundi 20 février 2012

Quand Pékin qualifie de terroristes les Gardiens de la révolution islamique d'Iran...



Est-ce un lapsus ( révélateur ou non ) ?

Au plus grand étonnement des auditeurs, lors du bulletin d'informations de Radio Chine international diffusé le 20 février à 0900 UTC le présentateur a qualifié de terroristes les Gardiens de la révolution islamique d'Iran...

Ci-dessous la transcription ainsi qu'un lien permettant d'écouter le MP3 :

Les forces terrestres des Gardiens de la révolution iranienne ont entamé dimanche une nouvelle série d'exercices militaires dans le centre de l'Iran. C'est ce qu'a rapporté l'agence de presse officielle iranienne IRNA. Le commandant des forces « terroristes » ! des Gardiens de la révolution a déclaré que les unités d'infanterie et les bataillons des forces volontaires prendront part à ces manœuvres de deux jours. Il avait déclaré samedi que l'objectif de ces nouveaux exercices serait d'améliorer les préparations de combat des Gardiens de la révolution et de démontrer leurs capacités d'affronter les menaces des ennemis hors de la région. Les forces terrestres des Gardiens de la révolution avaient organisé, début février deux exercices militaires dans les eaux du sud de l'Iran et près du détroit stratégique d'Ormuz. Selon lui les Gardiens de la révolution sont près à riposter à tout acte d'agression contre l'Iran.
(Radio Chine international, le 20-02-2012)



Ecouter le bulletin en langue française...


mardi 14 février 2012

Le Mossad de retour en Tunisie...


Le Mossad a intensifié ses activités en Tunisie après la révolution du 14 janvier qui a renversé le régime du président déchu Ben Ali. « Les services du Mossad œuvrent, en collaboration avec la CIA, pour renouveler les activités de leur réseau d’espions en Tunisie après la révolution » a écrit le journal tunisien Al-Mousawwer dans son numéro paru ce lundi. L’article intitulé «Danger: le Mossad intensifie ses activités, après la révolution, à Tunis, Djerba et Sousse » recueille ses informations du centre israélien "Java" pour les études et les recherches et selon lequel les espions du Mossad se sont répartis dans plusieurs villes tunisiennes, de sorte que chaque branche est chargée d’une mission distincte de l’autre. La branche de la capitale,Tunis, est, semble-t-il, chargée de "capter" des objectifs en Algérie, alors que celle de l’ile de Djerba, située à 500 Km au sud-est de la capitale, s’occupe de la Libye, et celle de la ville de Sousse, à 150 km à l’est de Tunis, se doit d’espionner les affaires locales. En Tunisie, les espions israéliens œuvrent pour créer des réseaux terroristes tout en surveillant les activités palestiniennes en Tunisie, ainsi que les mouvements islamistes salafistes. Les partis de l’opposition tunisienne, hostiles au processus de paix avec Israël, se trouvent aussi dans leur collimateur. Selon le journal, le Mossad est parvenu à semer la zizanie en Tunisie, avant et après la révolution, dans le but, entre autre, de torpiller toute démarche visant à instaurer des alliances stratégiques avec des parties considérées par Tel-Aviv et Washington comme étant insoumises. Il faut croire qu’il s’agit principalement de l’Iran et de la Syrie. L’une des missions de ce service fondé en 1949, consiste aussi à sauvegarder les intérêts des différentes communautés juives dans ces pays. Alors que le régime tunisien était en train de tomber, le Mossad israélien a évacué une dizaine d’Israéliens qu’il a présentés comme étant des touristes et soupçonnés de faire partie de ses membres. En février, un ancien ministre de l'Interieur tunisien, Tahar Belkhodja, a révélé que c’était le Mossad qui formait la sécurité présidentielle de Ben Ali. En Avril 2011, un ancien garde du corps du président tunisien déchu, a dévoilé, dans une vidéo qu’il a publié après la révolution du 14 janvier, que Leïla Trabelsi, l'épouse de Ben Ali, était un agent du Mossad depuis 1990, et qu’elle était impliquée dans l’assassinat de dirigeants de l’Organisation de libération de la Palestine en Tunisie, au début des années 90 du siècle dernier. Une accusation similaire porte sur Ben Ali, aussi. Et puis, le mois de juin dernier, des informations diffusées sur Youtube ont fait état de l’arrestation d’un nombre non précisé de snipers membres du Mossad.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 14-02-2012)

lundi 13 février 2012

Israël ne partage plus avec les États-Unis ses renseignements concernant l'Iran...


Newsweek s'appuie sur des sources officielles à Washington et affirme qu'au cours de sa dernière visite aux États-Unis le chef du Mossad, Tamir Pardo, a tenté de vérifier quelles seraient les conséquences d'une attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes sans le soutien américain. On sait que des divergences de vue existent entre Israël et les États-Unis sur la façon d'aborder la question iranienne, mais il s'avère à présent qu'à Jérusalem l'option d'une attaque israélienne est plus que jamais à l'ordre du jour. En effet, si l'on en croit les médias américains, les responsables israéliens tentent à présent de vérifier quelles pourraient être les conséquences d'une action militaire unilatérale contre l'Iran. Un article publié aujourd'hui par le magazine Newsweek révèle en effet que le chef du Mossad, Tamir Pardo, était il y a quelques semaines aux États-Unis précisément pour obtenir une réponse à cette question. Selon Newsweek l'administration américaine ne partage pas le point de vue israélien selon lequel il faut stopper à n'importe quel prix les efforts iraniens de se doter de l'arme nucléaire. Washington estime au contraire qu'il faut maintenir les sanctions qui ont pour objet de provoquer un effondrement de l'économie iranienne tout en préservant l'économie mondiale et éviter ainsi une crise pétrolière internationale. C'est dans ce contexte que le magazine revient sur la visite aux États-Unis du chef du Mossad, une visite révélée inopinément lors d'un débat au sénat. Aujourd'hui le magazine cite des responsables américains qui ont suivi la visite de Tamir Pardo. Selon ces derniers, le chef du Mossad aurait entre autres tenter d'obtenir des responsables américains des réponses sur le dossier iranien. Quelle est la position des États-Unis sur une éventuelle attaque sur les sites nucléaires iraniens ? Quelle serait la réaction de Washington si Israël lançait tout seul une attaque ? aurait demandé Tamir Pardo à ses interlocuteurs. Et Newsweek de conclure que depuis quelques temps Israël ne partage plus ses informations et ses renseignements avec les États-Unis. Selon le magazine, ce serait la raison pour laquelle le secrétaire à la Défense, Leon Panetta, serait parvenu à la conclusion qu'Israël pourrait attaquer l'Iran d'ici le mois de juin prochain.
(Kol Israël, le 13-02-2012)

mercredi 1 février 2012

Des associations algériennes seraient financées par la CIA...


La secrétaire générale du parti des travailleurs algériens, Louisa Hanoune, a accusé l’agence américaine de renseignement, la CIA, de financer quatre associations des droits de l’Homme. Selon le site en ligne du quotidien arabophone londonien Al-Qods Al-Araby, Hanoune a affirmé détenir des documents qui attestent ses accusations, nommant, parmi ces quatre organisations, l’Association nationale pour la défense des droits de l’Homme et SOS disparus. Elle en a appelé à couper la voie aux tentatives d’États et d’organisations étrangères finançant les campagnes de candidats aux élections qui devraient être organisées le mois de mai prochain. « Ceci aboutira à servir des intérêts et des enjeux étrangers, dans une tentative d’assimiler la situation en Algérie à celle de la Tunisie et de l’Égypte » explique-t-elle. Et d’ajouter que certaines administrations l’ont contactée, lui demandant d’envoyer des députés et des élus de son parti en Amérique pour prendre des leçons, entre autres, sur les facultés d’orateurs et la façon de s’adresser au public. Mais elle a dit constater que le responsable d’un parti politique algérien est rentré des États-Unis avec un discours totalement différent de ce qu’il était. Le mois de décembre dernier, cette dirigeante syndicaliste avait dévoilé que Washington a préparé un conseil transitoire pour l’Algérie, avec la complicité de « parties intérieures », précisant avoir recueilli ses informations du dirigeant de l’Union syndicale des travailleurs aux États-Unis, Alain Benjamin. Elle en a appelé à l’introduction de véritables réformes, afin de ne pas donner l’occasion aux puissances occidentales de venir, prétextant le rendez-vous des élections législatives prochaines, s’ingérer dans nos affaires internes. Hanoune suspecte le CNT libyen d’être de mèche avec les Américains.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 01-02-2012)

Le directeur du Mossad s'est rendu à Washington afin d'évoquer une frappe contre les installations nucléaires iraniennes...


Tamir Pardo, le chef du Mossad, les services de renseignement israéliens, s'est rendu dimanche à Washington pour discuter d'une possible attaque israélienne contre les installations nucléaires iraniennes, ont révélé, mardi 31 janvier, des médias israéliens. Selon la deuxième chaîne de télévision privée israélienne, ce genre de visite du chef du Mossad est habituellement tenue secrète. Mais l'information a été divulguée accidentellement par la présidente de la Commission du renseignement du Sénat américain, la démocrate Dianne Feinstein, lors d'une audition de cette commission. Au cours de cette audition retransmise par une chaîne de télévision américaine, Mme Feinstein a révélé avoir eu un entretien avec M. Pardo qui a également rencontré le chef de la CIA, David Petraeus.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 01-02-2012)

mardi 17 janvier 2012

Le Mossad serait bien impliqué dans l'assassinat d'un scientifique iranien...


Le Sunday Times a publié lundi un rapport confirmant que des agents du Mossad étaient derrière l'assassinat du scientifique nucléaire iranien Mostafa Ahmadi-Roshan. Selon ce rapport, l'assassinat de Roshan était digne d'un scénario de film d'espionnage. « La planification de l’attaque a duré plusieurs mois, comprenant notamment une surveillance intensive et une collecte de renseignements ». Citant des sources israéliennes, le Sunday Times a indiqué que cet assassinat était un prélude à une attaque militaire, puisqu’il rendrait plus difficile la reconstruction des installations nucléaires qui devraient être bombardées.

Par ailleurs, de petits groupes d'agents du Mossad ont longuement observé les zones clés à Téhéran, jugées pertinentes à l'assassinat de Roshan, a révélé le quotidien israélien Ha'aretz. « Il y a une tolérance zéro pour les erreurs. Évidemment, chaque échec expose non seulement les agents au danger, mais aussi il crée des risques de provoquer un scandale international » a ajouté la source israélienne au Sunday Times.

Le journal basé à Londres a en outre présenté des détails sur l'assassinat, affirmant que le scientifique en question, 32 ans, a été surveillé à partir d'une salle d’opération proche de sa maison, alors qu'il se préparait à aller au travail. Pendant ce temps, d’autres agents du Mossad surveillaient l’accès au site nucléaire du centre de Téhéran, à un kilomètre seulement du lieu de l’assassinat. Le chauffeur de la voiture accompagnant le scientifique martyr avait examiné le véhicule de type Peugeot 405. Et vers 8h du matin, un agent sur place a informé son équipe que le scientifique nucléaire était parti. C’est alors que le commandant du groupe a donné l'ordre final à des agents qui attendaient le passage du scientifique caché dans un garage.

Selon la même source, les agents ont repéré la voiture du scientifique à 8h20, et après s’être assurés de son identité, un motard de l’équipe a collé une bombe magnétique sur sa voiture qui a explosé 9 secondes après, provoquant la mort de Roshan et du chauffeur.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 17-01-2012)

lundi 16 janvier 2012

Des interceptions confirmeraient la mort d'Hakimullah Mehsud...


Au Pakistan, des officiels des services de renseignement estiment que le chef des taliban pakistanais, Hakimullah Mehsud, pourrait bien avoir été tué par un drone américain le 12 janvier lors d'un raid dans une région tribale du pays. Les officiels en question, qui ont requis l'anonymat, disent avoir intercepté des communications radios entre combattants taliban. Certains d'entre eux ont confirmé la mort de Mehsud, tandis que d'autres leur reprochaient d'en discuter si ouvertement. Les taliban pakistanais ont eux démenti la nouvelle.
(La voix de l'Amérique, le 16-01-2012)

dimanche 15 janvier 2012

Le Qatar accusé d'être l'instrument du Mossad et de la CIA...


Des Egyptiens regroupés au sein de la coalition générale des commissions populaires ont tenu vendredi un imposant sit-in au Caire pour exiger la fermeture de l'ambassade du Qatar. Selon la presse égyptienne, le Qatar est devenu un instrument du Mossad et de la CIA, travaillant selon les agendas des Occidentaux visant à déstabiliser la région du monde arabe. Les manifestants égyptiens ont appelé également à la suspension du Qatar au sein de la Ligue arabe en tant que membre. Les Egyptiens reprochent à ce pays arabe son implication directe dans la guerre libyenne aux côtés des forces de l'Otan en fournissant l'armement et sa chaîne de télévision Al Jazeera afin de décapiter l'Etat libyen et de tuer Kadhafi et tous ses partisans.

Selon les manifestants, le Qatar avait mobilisé plus de 5000 militaires en Libye et tente aujourd'hui de détruire la Syrie, le Yémen et l'Egypte.

Pour les manifestants, le Qatar menace les intérêts stratégiques et idéologiques de l'Egypte et des pays arabes. Des membres de la coalition générale des commissions populaires affirment détenir des preuves sur «les relations entretenues par le Qatar avec le Mossad».



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samedi 14 janvier 2012

Quand le Mossad recrutait des terroristes au nom de la CIA...


Israël a recruté des militants du Jundallah, une organisation terroriste qui commet des attentats en Iran, en se faisant passer pour des agents américains de la CIA, affirme vendredi le magazine Foreign Policy.
Cette opération dite de "faux pavillon" et qui vise à faire endosser la responsabilité d'une action à quelqu'un d'autre, a été découverte par Washington en 2007-2008, et avait irrité au plus haut point le président George W. Bush. La CIA, l'agence de renseignement extérieur américaine, a notamment découvert, à cette époque, que des agents du Mossad, son homologue israélien, avaient mené des activités de recrutement de membres du Jundallah, notamment à Londres, en se faisant passer pour des agents de la CIA. Sollicitée par l'AFP, la CIA n'a pas réagi, dans l'immédiat. Jundallah est une organisation extrémiste anti-iranienne basée dans la province pakistanaise du Balouthistan, à l'origine de nombre d'attentats sur le sol iranien. Les activités du Mossad risquaient de compromettre la fragile relation des Etats-Unis avec le Pakistan - officiellement un allié, dans la lutte contre Al Qaïda - qui était pressé par l'Iran de prendre des mesures contre Jundallah, affirme Foreign Policy. "C'était stupide et dangereux. Israël est censé travailler à nos côtés, pas contre nous. S'ils veulent que le sang soit versé, mieux vaut le leur que le nôtre" a affirmé un agent de renseignement américain cité par le magazine. Aucun élément ne laisse supposer que la campagne d'assassinats de scientifiques impliqués dans le programme nucléaire iranien, depuis début 2010, n'ait de lien avec le groupe Jundallah, précise Foreign Policy. Ces meurtres, dont celui du scientifique nucléaire Mostafa Ahmadi Roshan, tué mercredi dans l'explosion d'une bombe placée sur sa voiture, n'ont pas été revendiqués. Le Guide suprême iranien, l'Ayatollah Ali Khamenei, a accusé, jeudi, la CIA et les services de renseignement extérieurs israéliens, le Mossad, d'être derrière cet assassinat. Le chef du Pentagone, Leon Panetta, a nié, jeudi, toute implication américaine, ajoutant avoir une "petite idée" sur l'identité des auteurs.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 14-01-2012)

jeudi 5 janvier 2012

Le Mossad serait impliqué dans le crash d'un avion d'Ethiopian Airlines au large de Beyrouth...


La Mauritanie a découvert, sur son territoire, un grand réseau d’espionnage israélien impliqué dans le crash d’un avion éthiopien au Liban, et dans l’assassinat du dirigeant du Hamas, Al-Mabhouh. Selon des médias mauritaniens, dont le site en ligne Al-Hurriat, le réseau du Mossad est formé d’homme d’affaires et d’activistes arabes. Il fut découvert lors de l'arrestation de l’un de ses membres, Farès Al-Banna, Jordanien d’origine palestinienne, accusé de vol. Les forces de sécurité ont découvert à son domicile le brouillon d’une lettre écrite de sa main et adressée à l’ambassade des Émirats arabes unis à Nouakchott, et dans laquelle il écrit : « e soussigné Farès Al-Banna travaille pour le Mossad israélien et j’ai participé à l’assassinat de Al-Mabhouh et à l’explosion d’un avion éthiopien au Liban, à bord duquel se trouvait un membre du Hezbollah ». L’assassinat de Mahmoud Al-Mabhouh a eu lieu à Dubaï en février 2011. Grâce aux cameras disséminées dans l’hôtel où descendait le responsable du Hamas, les forces de sécurité émiraties ont découvert, dès le début, l’implication d’un réseau du Mossad, dont tous les membres en action dans la principauté ont été démasqués. Tout un tollé médiatique a été soulevé, conduit par le chef de la police émiratie, mais aucune poursuite judiciaire, ni aucune arrestation ne s’en sont suivies. Quant à l’avion éthiopien, il s’est écrasé le 25 janvier 2011 sur la côte libanaise, à peine quelques minutes après son décollage de l’aéroport de Beyrouth. À son bord se trouvaient 90 passagers, dont 54 Libanais. Les résultats de l’enquête effectuée devraient être publiés dans quelques jours. Les premiers diagnostics évoquaient une erreur humaine. Dans son message, Al-Banna réclamait de ne pas être livré aux services de renseignement jordaniens. Il s’est même engagé à avouer les informations détaillées sur les réseaux d’espionnage israéliens arabes qui travaillent pour le compte du Mossad. Il a révélé que le Mossad compte créer une société, sur le territoire mauritanien, pour infiltrer des agents en Arabie saoudite. Cette société ne serait autre que l’Unité pour les services touristiques qui travaille dans le cadre du système Time Share pour le pèlerinage. Une source journalistique mauritanienne a signalé au site qu’une copie de cette lettre a été livrée, par les autorités mauritaniennes, à l’ambassade saoudienne, via son ambassadeur, qui a semblé très intéressé, alors que celui des Émirats s’est comporté avec indifférence.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 05-01-2012)