mardi 23 février 2016

Un extrait d'une conversation entre le Premier ministre israélien et Silvio Berlusconi publié par WikiLeaks...

WikiLeaks publie ce matin un extrait d'une conversation entre le Premier ministre Netanyahu et l'ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi au cours de laquelle le chef de gouvernement israélien demande à son interlocuteur de l'aider dans ses relations avec le président Obama. Dans les documents révélés par WikiLeaks figurent également une conversation entre le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, et la chancelière allemande Angela Merkel, ainsi que des informations au sujet d'une rencontre portant sur des dossiers confidentiels entre des responsables japonais et européens sur des questions d'échanges commerciaux, des détails également sur une conversation entre l'ancien président français Nicolas Sarkozy, la chancelière allemande Angela Merkel et l'ancien Premier ministre italien Silvio Berlusconi.
(Kol Israël, le 23-02-2016)

Le site WikiLeaks a annoncé dans un communiqué de presse la publication de nouveaux documents « Top Secret ». Le communiqué fait savoir que l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a mis sur écoute de nombreux dirigeants internationaux dont et plus particulièrement le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon. Les nouvelles révélations concernent l'écoute par la NSA des conversations entre Ban Ki-moon et Angela Merkel au sujet des changements climatiques, ainsi que les entretiens entre l'ex-Premier ministre italien Silvio Berlusconi et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Le communiqué évoque également des documents concernant l'écoute de négociations entre des ministres du Commerce de l'Union européenne et du Japon sur l'activité de l'Organisation mondiale du commerce et les détails d'une rencontre privée entre Nicolas Sarkozy, Angela Merkel et Silvio Berlusconi, a rapporté l'agence Sputnik.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 23-02-2016)


jeudi 18 février 2016

Selon la NSA, sans le cryptage, les attentats de Paris n'auraient pas eu lieu...

Depuis les années 90, la NSA a peur de se retrouver dans le noir, sans moyen de mener sa surveillance de masse. Avec la rébellion des entreprises technologiques, qui ont choisi de chiffrer (crypter, en mauvais français) les données pour des raisons de sécurité et de vie privée, le bras de fer se durcit. En pleine guerre entre Apple et le FBI pour contourner la protection de l’iPhone d’un des auteurs de l’attaque de San Bernardino, la NSA en a rajouté une couche, mercredi, estimant que sans le chiffrement des communications, les attentats de Paris « n’auraient pas eu lieu ».

« Certaines communications étaient chiffrées. Nous n’avons pas pu obtenir un aperçu assez tôt. Si nous avions su, Paris n’aurait pas eu lieu », insiste le directeur de l’agence, Michael Rogers, dans une interview donnée à Yahoo News.


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