Un haut gradé de la force aérienne russe a déclaré que la Russie n’utiliserait plus le système GPS des États-Unis au cours des bombardements des positions des terroristes en Syrie en raison des entraves intentionnelles et des informations falsifiées que fournit ce système américain. « Les États-Unis manipulent les informations du système GPS et désorientent, par conséquent, les systèmes de transport mondiaux » a déclaré le général Anatoli Nistchouk, commandant de la 15e base de la force aérienne de Russie, lundi, devant un parterre de journalistes. « Les États-Unis ont usé de cette méthode à maintes reprises. C’est la raison pour laquelle la Russie n’a plus confiance dans ce système et qu’elle préfère se servir des données de ses propres satellites » a déclaré le général russe avant d’ajouter : « La Russie fera usage de son système GLONASS qui assure une couverture entière du monde. Les analyses effectuées montrent que le « rival » manipule les informations afin d’atteindre ses propres objectifs ».
(La voix de la République islamique d'Iran, le 06-10-2015)
mardi 6 octobre 2015
dimanche 13 septembre 2015
Étranges dysfonctionnements du système GPS...
Sans vouloir sombrer dans la paranoïa, des faits récents, rapportés par des sources différentes et dignes de foi ne peuvent que susciter une certaine inquiétude.
Le système directement concerné est l'AIS (Automatic Identification System) utilisé pour la navigation maritime. Il s'agit d'émettre en VHF la position GPS du navire afin de signaler sa présence aux autres bateaux se trouvant dans le voisinage. Ce système joue, entre autres, le rôle de l'anti-collision.
Les anomalies rapportées ont été constatées entre le 5 et le 10 septembre 2015.
Ainsi le 5 septembre 2015 la vedette de la SNSM d'Antibes (SNS 148) était positionnée par le site www.marinetraffic.com, qui propose l’affichage en ligne du trafic maritime à partir des signaux AIS reçus en VHF par des stations côtières, tout d'abord à Monaco, puis à Nice alors qu'elle n'est jamais sortie du port à cette date.
Le 10 septembre 2015 le Salvia Ace, un navire marchand destiné au transport de véhicules, était positionné dans le port de plaisance d'Antibes. Comme le montre la capture d'écran, la grande taille du navire le montrait à cheval sur le quai.
Il s'avère qu'à la date donnée le Salvia Ace quittait un port japonais dans le Pacifique Nord.
Le 9 septembre 2015 Radio Sputnik (ex-La voix de la Russie) annonçait le départ de St. Nazaire d'un des deux porte-hélicoptères Mistral, le Vladivostok.
Cependant un correspondant dépêché sur place a constaté que les deux navires étaient toujours dans le port et n'avaient pas quitté leur quai.
On peut écarter la possibilité d'un dysfonctionnement du site Internet diffusant les données AIS tel que www.marinetraffic.com. En effet ces anomalies ont été également constatées sur d'autres sites...
L'AIS ne faisant qu'émettre la position GPS du navire, on peut raisonnablement penser que le problème vient du GPS.
Quand on sait avec quelle facilité une équipe de chercheurs de la société de sécurité informatique chinoise Qihoo 360 a pu leurrer les GPS d'un Smartphone et d'un véhicule, on imagine ce que pourrait faire un État mal intentionné ou un groupe de hackers aux visées destructrices… (http://www.radioamateurs-france.fr/?p=3551)
Espérons que les cas récemment constatés soient les conséquences d'une série de dysfonctionnements purement techniques et non les prémices d'une attaque de plus grande ampleur contre ce qui est devenu le principal système mondial de navigation par satellite...
Le système directement concerné est l'AIS (Automatic Identification System) utilisé pour la navigation maritime. Il s'agit d'émettre en VHF la position GPS du navire afin de signaler sa présence aux autres bateaux se trouvant dans le voisinage. Ce système joue, entre autres, le rôle de l'anti-collision.
Les anomalies rapportées ont été constatées entre le 5 et le 10 septembre 2015.
Ainsi le 5 septembre 2015 la vedette de la SNSM d'Antibes (SNS 148) était positionnée par le site www.marinetraffic.com, qui propose l’affichage en ligne du trafic maritime à partir des signaux AIS reçus en VHF par des stations côtières, tout d'abord à Monaco, puis à Nice alors qu'elle n'est jamais sortie du port à cette date.
Le 10 septembre 2015 le Salvia Ace, un navire marchand destiné au transport de véhicules, était positionné dans le port de plaisance d'Antibes. Comme le montre la capture d'écran, la grande taille du navire le montrait à cheval sur le quai.
Il s'avère qu'à la date donnée le Salvia Ace quittait un port japonais dans le Pacifique Nord.
Le 9 septembre 2015 Radio Sputnik (ex-La voix de la Russie) annonçait le départ de St. Nazaire d'un des deux porte-hélicoptères Mistral, le Vladivostok.
Cependant un correspondant dépêché sur place a constaté que les deux navires étaient toujours dans le port et n'avaient pas quitté leur quai.
On peut écarter la possibilité d'un dysfonctionnement du site Internet diffusant les données AIS tel que www.marinetraffic.com. En effet ces anomalies ont été également constatées sur d'autres sites...
L'AIS ne faisant qu'émettre la position GPS du navire, on peut raisonnablement penser que le problème vient du GPS.
Quand on sait avec quelle facilité une équipe de chercheurs de la société de sécurité informatique chinoise Qihoo 360 a pu leurrer les GPS d'un Smartphone et d'un véhicule, on imagine ce que pourrait faire un État mal intentionné ou un groupe de hackers aux visées destructrices… (http://www.radioamateurs-france.fr/?p=3551)
Espérons que les cas récemment constatés soient les conséquences d'une série de dysfonctionnements purement techniques et non les prémices d'une attaque de plus grande ampleur contre ce qui est devenu le principal système mondial de navigation par satellite...
vendredi 11 septembre 2015
Des rapports des services de renseignement américains altérés pour plaire à Barack Obama...
C'est une information rendue publique par le Daily Beast, mais le Pentagone enquêtait déjà sur les faits. Des spécialistes américains du renseignement se plaignent de voir régulièrement leurs rapports sur la guerre contre Daesh enjolivés. Ils accusent les officiers supérieurs de retravailler leurs conclusions avant de les présenter au président Barack Obama. Pour plaire au commandant en chef les officiers ont ils soumis des rapports exagérément optimistes sur les progrès de la coalition dans la lutte contre le groupe État islamique ? C'est en tout cas ce dont se plaignent une cinquantaine de spécialistes du renseignement qui ont vu leurs analyses de la situation sur le terrain parfois altérées et manipulées de façon à refléter les déclarations publiques de l'administration Obama. Un responsable de la Défense a reconnu sous couvert de l'anonymat qu'il y avait un cancer au cœur des hauts échelons du commandement des renseignements. Cela laisse entendre que certains officiers supérieurs soucieux pour leur avancement réécrivaient les rapports de façon à ce qu'ils donnent l'impression que les djihadistes battaient en retraite, comme l'affirme l'administration.
(Médi-1, le 11-09-2015)
(Médi-1, le 11-09-2015)
jeudi 11 juin 2015
Les services israéliens auraient piraté le réseau WiFi de plusieurs hôtels européens ...
Le ministère américain des Affaires étrangères se refuse à réagir aux informations révélées hier par le Wall Street Journal selon lesquelles Israël aurait piraté le réseau WiFi des hôtels européens ayant accueilli les négociations sur le nucléaire entre l'Iran et les grandes puissances. À Washington le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Jeffrey Rathke, a déclaré que les États-Unis sont au courant de cette information, mais qu'ils ne réagiront pas, et d'ajouter que d'une manière générale ils œuvraient pour garantir que lorsque des négociations secrètes se déroulent les détails des discussions demeurent derrière des portes fermées. En Israël le ministre adjoint de la Défense, Eli Ben-Dahan, a catégoriquement démenti ces informations. « La possibilité qu'Israël ait piraté des systèmes informatiques est un non sens total » a-t-il déclaré ce matin sur les ondes de Kol Israël.
(Kol Israël, le 11-06-2015)
(Kol Israël, le 11-06-2015)
mercredi 25 mars 2015
Israël aurait espionné les entretiens à huis clos entre l'Iran et les grandes puissances...
Le quotidien américain Wall Street Journal affirme qu'Israël a espionné durant plus d'un an des entretiens à huis clos relatifs aux négociations sur le nucléaire entre l'Iran et les grandes puissances. Un espionnage qui selon le journal s'inscrivait dans une stratégie plus large du Premier ministre Netanyahu de construire publiquement une opposition à l'accord en misant sur la division entre républicains et démocrates. Des allégations formellement démenties par Israël qui indique que les renseignements collectés l'ont été par d'autres moyens tels la surveillance de leaders iraniens et des informations provenant de responsables européens, notamment français. Le ministre des Affaires étrangères Avigdor Liberman a lui aussi réfuté les informations publiées par le Wall Street Journal. « Nous avons nos propres renseignements » a-t-il dit. « Les directives sont claires depuis des décennies. Nous n'espionnons pas les États-Unis de manière directe ou indirecte. Il y a assez de participants à ces négociations, les Iraniens inclus ».
(Kol Israël, le 24-03-2015)
Le Wall Street Journal affirme qu'Israël aurait durant plus d'un an espionné les discussions des grandes puissances et en particulier des États-Unis avec l'Iran sur son programme nucléaire. Les informations recueillies auraient ensuite été transmises à des membres du Congrès pour les convaincre de bloquer l'accord négocié par le chef de la Maison-Blanche. « Impossible. Cela fait des décennies qu'Israël n'espionne plus les États-Unis. Quelqu'un cherche à nous diviser et à jeter de l'huile sur le feu », a assuré le ministre israélien de la Défense.
(Médi-1, le 25-03-2015)
Le président républicain de la chambre des représentants américaine John Boehner a dit mardi n'être pas au courant d'informations confidentielles éventuellement transmises par Israël à des élus du Congrès sur les négociations nucléaires avec l'Iran. Le Wall Street Journal a rapporté mardi qu'Israël avait espionné des pourparlers internationaux entre le groupe 5 + 1 et l'Iran citant des sources américaines. Des dirigeants israéliens ont immédiatement démenti avoir espionné les USA. « Franchement, je suis un peu choqué car aucune information ne m'a été révélée » a déclaré John Boehner. « Je suis choqué par le fait que l'article indique que des informations ont été transmises par les Israéliens à des élus du Congrès. Je ne suis pas du tout au courant de tout cela » a-t-il insisté.
(Radio Sputnik, le 25-03-2015)
(Kol Israël, le 24-03-2015)
Le Wall Street Journal affirme qu'Israël aurait durant plus d'un an espionné les discussions des grandes puissances et en particulier des États-Unis avec l'Iran sur son programme nucléaire. Les informations recueillies auraient ensuite été transmises à des membres du Congrès pour les convaincre de bloquer l'accord négocié par le chef de la Maison-Blanche. « Impossible. Cela fait des décennies qu'Israël n'espionne plus les États-Unis. Quelqu'un cherche à nous diviser et à jeter de l'huile sur le feu », a assuré le ministre israélien de la Défense.
(Médi-1, le 25-03-2015)
Le président républicain de la chambre des représentants américaine John Boehner a dit mardi n'être pas au courant d'informations confidentielles éventuellement transmises par Israël à des élus du Congrès sur les négociations nucléaires avec l'Iran. Le Wall Street Journal a rapporté mardi qu'Israël avait espionné des pourparlers internationaux entre le groupe 5 + 1 et l'Iran citant des sources américaines. Des dirigeants israéliens ont immédiatement démenti avoir espionné les USA. « Franchement, je suis un peu choqué car aucune information ne m'a été révélée » a déclaré John Boehner. « Je suis choqué par le fait que l'article indique que des informations ont été transmises par les Israéliens à des élus du Congrès. Je ne suis pas du tout au courant de tout cela » a-t-il insisté.
(Radio Sputnik, le 25-03-2015)
lundi 16 mars 2015
Interception de messages diplomatiques urgents destinés à l'ambassade d’Égypte à Washington...
Yves-Marie du blog Signal Monitoring rapporte l'interception, le 14 mars, de messages cryptés urgents émanant du ministère des Affaires étrangères égyptien et destinés à l'ambassade d’Égypte à Washington.
On pourrait facilement imaginer que ces messages sont en rapport avec la conférence internationale de Charm El-Cheikh qui vient de s'achever. Pas moins de 80 États y étaient représentés ainsi que plusieurs dizaines d'entreprises étrangères.
À noter également qu'à cette occasion le secrétaire d’État américain John Kerry s'est entretenu en privé avec le président égyptien Al-Sissi. Ils auraient évoqué notamment la lutte contre l’État islamique et sa progression en Libye.
Il ne serait donc pas ridicule de penser que ces messages sont en rapport avec cette entrevue. Le but étant d'informer la délégation diplomatique égyptienne en poste à Washington et de lui donner éventuellement de nouvelles directives relatives à la politique étrangère égyptienne envers les États-Unis…
Extrait d'un message publié par Signal Monitoring
On pourrait facilement imaginer que ces messages sont en rapport avec la conférence internationale de Charm El-Cheikh qui vient de s'achever. Pas moins de 80 États y étaient représentés ainsi que plusieurs dizaines d'entreprises étrangères.
À noter également qu'à cette occasion le secrétaire d’État américain John Kerry s'est entretenu en privé avec le président égyptien Al-Sissi. Ils auraient évoqué notamment la lutte contre l’État islamique et sa progression en Libye.
Il ne serait donc pas ridicule de penser que ces messages sont en rapport avec cette entrevue. Le but étant d'informer la délégation diplomatique égyptienne en poste à Washington et de lui donner éventuellement de nouvelles directives relatives à la politique étrangère égyptienne envers les États-Unis…
Extrait d'un message publié par Signal Monitoring
jeudi 5 mars 2015
En Nouvelle-Zélande le Government Communications Security Bureau (GCSB) aurait infiltré tous les câbles sous-marins du Pacifique...
La Nouvelle-Zélande a espionné ses voisins du Pacifique au profit des États-Unis. C'est la dernière révélation choc qui ressort des documents fournis par Edward Snowden sur l'agence de renseignement américaine, la NSA. Des documents qui ont été « épluchés » par le journaliste d'investigation Nicky Hager, du New Zealand Herald. Selon lui, Wellington a espionné pratiquement toute la région : les Samoa, les Fidji, les Tonga, les Îles Salomon, le Vanuatu, Kiribati, Tuvalu, Nauru, mais aussi les territoires français - la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française. En quelque sorte, le GCSB (Government Communications Security Bureau), le service de renseignement néo-zélandais, a infiltré tous les câbles sous-marins du Pacifique.
(Radio Australie, le 05-03-2015)
(Radio Australie, le 05-03-2015)
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