Vodafone Fiji se défend de jouer les grandes oreilles pour le gouvernement de Franck Bainimarama. L'opérateur de téléphonie mobile a publié le détail de sa collaboration avec les polices de 29 pays, dont Fidji, dans le cadre d'enquêtes judiciaires. 760 numéros fidjiens sont concernés. Mais Vodafone Fiji n'a donné que la date, l'heure et la durée des appels et textos, « et certainement pas la transcription des conversations », précise Aslam Khan, le directeur. Vodafone Fiji n'a pas la technologie nécessaire pour écouter les conversations. Aslam Khan rappelle qu'il croit dans la liberté d'expression et que son entreprise protège les droits de ses clients.
(Radio Australie, le 09-06-2014)
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