jeudi 5 décembre 2013

La NSA enregistrerait 5 milliards de données de géolocalisation de téléphones mobiles par jour...

La NSA, l'agence américaine chargée des interceptions de communications, intercepte les données de géolocalisation de centaines de millions de téléphones portables dans le monde, a révélé mercredi 4 décembre le Washington Post, s'appuyant sur des documents fournis par l'ancien consultant de la NSA Edward Snowden. Six mois après les premières révélations de Snowden notamment sur la collecte des métadonnées téléphoniques, cette nouvelle révélation semble montrer que l'agence américaine est également capable de suivre des personnes à la trace grâce à leurs portables, même quand celui-ci n'est pas utilisé. L'agence stocke des informations sur au moins des centaines de millions d'appareils et enregistre près de 5 milliards de données de localisation par jour, affirme le quotidien sur son site Internet. « Nous obtenons de vastes volumes de données de géolocalisation partout dans le monde » a confirmé un haut responsable de cette collecte cité par le Washington Post. L'agence y parvient en se connectant aux câbles qui relient les différents de réseaux mobiles dans le monde et, de ce fait, collecte « incidemment » des données de géolocalisation de citoyens américains. « L'intérêt de cette collecte, permise par le dialogue constant entre un téléphone et l'antenne relais la plus proche et de puissants algorithmes mathématiques, est de retracer les mouvements et de mettre en lumière des relations cachées entre des personnes » explique le quotidien.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 05-12-2013)

lundi 2 décembre 2013

Les prévisions du Mossad sur le futur d'Israël...

C’est un état des lieux pour le moins inattendu qui a été présenté cette semaine aux membres du cabinet israélien, dans les bureaux du Mossad, le saint des saints du renseignement israélien, près de Tel Aviv. Le contenu détaillé de leur rapport annuel est classé secret défense, mais à en croire les confidences de certains ministres, la situation aux frontières d’Israël ne devrait pas s’embraser en 2014. Explications.

C’est l’effet post-révolution arabe. Aujourd’hui, la menace d’une guerre conventionnelle engageant, comme en 1973, les armées arabes contre Israël appartient au passé. En Egypte, après le renversement des Frères musulmans désormais traqué comme au temps de Moubarak, le commandement militaire se préoccupe d’assurer une nouvelle phase de transition – la deuxième depuis février 2011 – et de rétablir l’autorité de l’Etat dans les différences provinces du pays, y compris dans la péninsule du Sinaï.

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lundi 11 novembre 2013

Selon As-Safir, le Hezbollah aurait infiltré les services d'écoutes israéliens, l'Unité 8200...

L'Unité 8200 a été jusqu'ici l'unité d'écoute et d'espionnage la plus importante de l'armée sioniste. Elle ne l'est plus depuis quelques temps, le Hezbollah a réussi à s'y infiltrer. Cette unité joue le rôle des yeux et des oreilles d'Israël car c'est elle qui a la mission de surveiller les ennemis du régime sioniste. Selon As-Safir qui vient de publier cette information, les membres de l'Unité 8200 sont formés et entraînés à infiltrer les réseaux informatiques, à déchiffrer les mots de passe, à contrôler les conversations téléphoniques de tous les citoyens des pays arabes, et pas seulement ceux du Liban. Cette unité a aussi pour charge d'accomplir les opérations d'espionnage électronique et cybernétique. Elle accueille en son sein des milliers de militaires sionistes qui espionnent tout au profit de l'armée sioniste. Selon As-Safir cette unité, au départ de petite taille, s'est agrandie au cours du temps et a pris les dimensions d"une vraie agence de renseignement. L'une des bases d'espionnage de cette unité où sont menées les opérations secrètes se trouve à l'ouest du Néguev. Aujourd'hui les données recueillies par cette base sont transférées au centre d'analyse des données au nord de la ville de Herzliya. C'est là que les conversations téléphoniques espionnées sont traduites et transférées vers d'autres agences de renseignement dont le Mossad, la NSA ou encore le MI6. Les activités de cette unité consiste à surveiller, à écouter, à scanner et à brouiller. L'Unité 8200 aurait, selon As-Safir, accompli avec succès les missions suivantes : mise sur écoute de Gamal Abdel Nasser, ex-président égyptien, mise sur écoute des conversations téléphoniques entre l'Iran et le Pakistan liées au programme nucléaire iranien, coopération avec la CIA dans les cyberguerre contre le nucléaire iranien...
(La voix de la République islamique d'Iran, le 11-11-2013)

mardi 24 septembre 2013

Nairobi : Shimon Peres reconnaît implicitement la présence de conseillers israéliens...

Même si le gouvernement ne l'a pas officiellement confirmé, des conseillers israéliens auraient aidé les forces kenyanes à reprendre le contrôle du centre commercial de Nairobi attaqué par des terroristes d'Al-Shabaab proches du mouvement Al-Qaïda. Shimon Peres a lui-même dévoilé à demi mot cette collaboration dans sa lettre de condoléances adressée au président kenyan : « Dans la lutte contre le terrorisme Israël et le Kenya agissent main dans la main » peut on lire. Ce soutien s'expliquerait par le long passé de collaboration militaire et économique entre les deux pays. Tout a commencé l'été 1976 à l'aéroport international d'Entebbe...
(Kol Israël, le 24-09-2013)

jeudi 12 septembre 2013

L'unité israélienne 8200 régulièrement alimenté par la NSA en données brutes...

Edward Snowden, réfugié en Russie, lance une nouvelle bombe dans la presse ce matin. Le lanceur d'alerte a révélé que son ancien employeur, la NSA, l'agence américaine chargée des interceptions de communications, avait régulièrement transmis des données à son homologue israélienne. Il s'agit de la célèbre unité 8200, Shmoney Matayim, l'unité de renseignement de l'armée israélienne responsable du renseignement d'origine électromagnétique et du déchiffrement de codes. Plusieurs milliers de soldats servent d'ailleurs dans cette unité. En 2008 le journal français Le Monde avait publié une enquête sur l'étendue de la capacité des structures d'écoutes de l'armée israélienne. Des centres d'écoutes capables de capter les informations dans tout le Moyen-Orient, en Afrique, en Europe et en Asie, mais quand même pas jusqu'aux États-Unis et c'est précisément pour cette raison qu'un accord de coopération aurait été passé avec la NSA. Les courriels et les conversations téléphoniques ont donc été remis par les Américains aux Israéliens. Des données brutes pas analysées, et c'est là la spécificité de cette collaboration.
(Kol Israël, le 12-09-2013)

mercredi 28 août 2013

Syrie : La NSA aurait intercepté une communication téléphonique d'un responsable de l'unité des armes chimiques...

Le magazine Foreign Policy rapporte que les services de renseignement américains sont parvenus à intercepter une conversation entre un haut responsable du ministère syrien de la Défense et un responsable de l'unité des armes chimiques quelques heures après la toute première attaque à l'arme chimique. Une conversation qui, selon le magazine, reflétait la panique.
(Kol Israël, le 28-08-2013)

lundi 26 août 2013

Special Collection Service : 80 ambassades américaines abriteraient une cellule de la NSA...

Selon le journal allemand Der Spiegel la NSA a également écouté les diplomates des Nations unies et ce en piratant les visioconférences de l'ONU. C'est vraiment de l'espionnage tous azimuts et sur une grande échelle qui est reproché à la NSA. Selon les documents en possession du Spiegel les spécialistes de l'agence américaine sont parvenus à s'introduire dans le circuit interne de visioconférence des Nations unies et à suivre comme si ils y étaient les conversations échangées entre les diplomates. Le système bien sûr est protégé par un dispositif de chiffrage très élaboré, mais la NSA, en réalisant une véritable performance technologique, a réussi l'an dernier à casser les codes utilisés à l'ONU. Ainsi elle a pu espionner en une seule semaine plus de 450 communications hautement confidentielles. Et on apprend non sans stupeur que les agents américains auraient pris sur le fait des espions chinois se livrant exactement à la même activité envers les diplomates des Nations unies. Par ailleurs l'hebdomadaire allemand connu pour le sérieux de ses sources d'informations donne des précisions sur le rôle des ambassades américaines dans le dispositif de la NSA. Dans 80 de ces ambassades l'agence aurait mis en place une cellule d'espionnage baptisée Special Collection Service et chargée de surveiller les communications dans le pays d'accueil. De telles activités devaient absolument rester secrètes sous peine de provoquer d'importants dégâts dans les relations avec les pays concernés, peut on lire également dans l'un des documents émanant de la NSA.
(Médi-1, le 26-08-2013)

samedi 17 août 2013

Un audit interne de la NSA montrerait que l'agence falsifie ses rapports destinés au ministère de la Justice...

D'après l'audit interne de la NSA obtenu par le Washington Post, l'Agence nationale de sécurité a commis pas moins de 2776 infractions aux lois et règlements qui la régissent entre mai 2011 et mai 2012. Ces infractions, que la NSA appelle pudiquement des incidents, sont des violations des lois sur le respect de la vie privée, des violations de décisions de justice rendues par le tribunal secret chargé d'autoriser les écoutes de la NSA, ainsi que des violations de différents règlements administratifs y compris de décrets présidentiels. Le rapport interne dévoilé par le Washington Post met la plupart des infractions sur le compte d'erreurs informatiques ou humaines. Mais l'audit interne et d'autres documents Top Secret consultés pat le quotidien de la capitale américaine, montrent que la NSA falsifie les rapports qu'elle est obligée de faire sur ses activités au ministère de la Justice, au Directeur national des services de renseignement et au Congrès. Le rapport souligne que les employés de la NSA ont reçu des instructions qui les invitent à falsifier leurs compte-rendus. Mais l'audit interne ne précise pas d'où viennent ces instructions.
(Radio Vatican, le 17-08-2013)

vendredi 2 août 2013

Confirmation de l'étroitesse des relations et de l'interdépendance entre le GCHQ et la NSA...

Le gouvernement américain aurait versé au moins 100 millions de Livres à l'agence d'espionnage britannique GCHQ au cours des trois dernières années, révèle jeudi le quotidien britannique The Guardian sur son site internet. L'objectif de la National Security Agency (NSA), l'agence de renseignement américaine, était de sécuriser l'accès aux renseignements britanniques et d'influer sur ses programmes de collecte de renseignements. Ces paiements Top Secret énoncés dans des documents que le journal s'est procuré soulignent l'étroitesse des relations et l'interdépendance entre le GCHQ et son homologue américain de la NSA. La NSA aurait par exemple financé pour plus de 15 millions de Livres le développement du site du GCHQ à Bude, dans le Cornwall, dévolu aux interceptions de communications transatlantiques.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 02-08-2013)

mardi 30 juillet 2013

Un site Internet pour simuler des frappes nucléaires sur des cartes satellites de Google...

Un site permettant de simuler un bombardement nucléaire sur les cartes satellites de Google est apparu sur Internet. Le simulateur NukeMap3D montre clairement la force de l'explosion et les effets de l'utilisation d'une bombe. L'utilisateur peut choisir le lieu de l'explosion, la puissance de la bombe - une annexe affiche une liste des ogives qui existent réellement - et cliquer sur le bouton pour voir la taille de la zone affectée. Le NukeMap3D calcule aussi le nombre approximatif de victimes et de blessés. Le choix de bombes est énorme, à partir de celles qui sont relativement faibles, jusqu’à la bombe soviétique AN602 de 71 Mégatonnes. L'ampleur de la destruction de ces monstres est stupéfiante.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 30-07-2013)

vendredi 19 juillet 2013

Au Panama, l'ancien chef de poste de la CIA à Milan placé en détention provisoire...

L'ancien chef du bureau de la CIA à Milan a été arrêté au Panama. Selon le ministère italien de la Justice, Bob Seldon Lady a été placé en détention provisoire et l'Italie a deux mois pour demander son extradition. Il est accusé d'être responsable de l'enlèvement en 2003 d'un imam égyptien, Abou Omar, membre de l'opposition islamiste radicale. Il bénéficiait de l'asile politique en Italie. L'imam avait été ensuite transféré en Égypte où il affirme avoir été torturé.
(La voix de l'Amérique, le 19-07-2013)

jeudi 18 juillet 2013

Un nouveau centre écoute de la NSA serait en construction dans l'ouest de l'Allemagne...

Les États-Unis construisent un nouveau centre de renseignement militaire en Allemagne. Le Consolidated Intelligence Center devrait voir le jour fin 2015. Selon le quartier général de l'armée américaine en Europe basé à Wiesbaden dans l'ouest de l'Allemagne, le centre sera chargé de collecter des informations secrètes pour les opérations militaires américaines en Europe. Mais la presse allemande indique que le complexe abritera un centre de la NSA, les services de renseignement américains dont Edward Snowden a dénoncé les pratiques de surveillance massive.
(Deutsche Welle, le 18-07-2013)

lundi 1 juillet 2013

L'Allemagne serait le pays européen le plus surveillé par la NSA...

Un milliard de communications interceptées chaque mois, l'Allemagne est le pays le plus étroitement surveillé en Europe par l'agence d'espionnage américaine NSA, d'après les révélations de l'hebdomadaire Der Spiegel.. Les réactions n'ont donc pas manqué. Le gouvernement allemand continue de faire profil bas à l'exception de la ministre libérale de la Justice pour qui cette affaire à des accents de Guerre froide. Der Spiegel révèle également que les grandes oreilles américaines se sont intéressées aux communications des institutions européennes à Bruxelles, comme à leur représentation à Washington et aux Nations unies.
(Radio Vatican, le 01-07-2013)

Selon The Guardian 38 ambassades et missions diplomatiques étrangères seraient espionnées par la NSA...

Edward Snowden continue d'affoler le renseignement américain. L'ancien de la CIA a cette fois transmis un document au journal britannique The Guardian. Il fait état de l'espionnage de 38 ambassades et missions diplomatiques étrangères. Il concerne les pays qualifiés de sensibles par le renseignement américain, essentiellement au Moyen-Orient, mais aussi des pays amis des États-Unis comme la France, l'Italie, le Mexique, le Japon, l'Inde ou la Turquie. Le document décrit également l'impressionnante palette de méthodes d'espionnage utilisées. Elles vont de simples micros dissimulés, à la collecte d'informations par le déploiement d'antennes spéciales. The Guardian confirme également les informations du journal allemand Der Spiegel selon lesquelles les représentations de l'Union européenne ont été espionnées à New York, Washington et Bruxelles.
(Médi-1, le 01-07-2013)

Les communications des institutions européennes à Bruxelles, Washington et New York interceptées par la NSA...

L'Agence américaine de sécurité nationale, la NSA, aurait espionné l'Europe. L'information a été donnée samedi par la version en ligne du magazine allemand Der Spiegel. D'après le site, la NSA a installé des micros dans les bâtiments abritant les installations de l'Union européenne à Washington et le Bureau de représentation de l'institution au siège de l'ONU à New York. La NSA aurait également pénétré les réseaux informatiques de ces installations, ce qui lui aurait permis d'intercepter les documents internes et les messages électroniques. Der Spiegel précise que ces informations sont mentionnées dans un document top secret de la NSA, emporté par l'ancien consultant de l'agence Edward Snowden. Le magazine ne précise pas comment il l'a obtenu.
(Radio Japon international, le 01-07-2013)

Le président du Parlement européen Martin Schultz a fait part de son profond mécontentement au sujet des révélations selon lesquelles l'Agence américaine de sécurité nationale, la NSA, aurait espionné l'Union européenne. Dans un communiqué dimanche, M. Schultz a déclaré que, si les allégations étaient avérées, les conséquences sur les relations entre l'Union européenne et les États-Unis pourraient être sévères. Il a demandé des éclaircissements et de plus amples informations aux autorités américaines à ce sujet.
(Radio Japon international, le 01-07-2013)

samedi 22 juin 2013

Le GCHQ intercepterait les communications transitant par les câbles à fibre optique reliant les États-Unis au Royaume-Uni...

Selon le journal britannique The Guardian, la Grande-Bretagne a aussi son programme d'écoutes. Le quotidien révèle que Londres espionne les liaison téléphoniques et informatiques transmises par câbles sous-marins à fibre optique entre les États-Unis et le Royaume-Uni et partage de grandes quantités d'informations avec la NSA américaine. Rappelons que c'est ce journal qui a eu accès à des documents que possédait Edward Snowden qui a révélé le programme PRISM de la NSA. (Kol Israël, le 22-06-2013)

The Guardian poursuit ses révélations sur les écoutes secrètes des États. Dans sa dernière livraison, le quotidien a révélé que la Grande-Bretagne espionnait les liaisons téléphoniques et informatiques transmises par câbles sous-marins à fibre optique entre les États-Unis et le Royaume-Uni et partageait de grandes quantités d'informations personnelles avec la NSA (National Security Agency) américaine. Le journal a eu accès à des documents en possession d'Edward Snowden, l'Américain qui a révélé le programme PRISM de la NSA. Il a montré aux journalistes des documents du projet britannique Tempora mis en place depuis un an et demi, qui permet au Government Communications Headquarters (GCHQ) d'espionner et de conserver pendant 30 jours d'importantes quantités de données interceptées sur les câbles à fibre optique. Selon The Guardian, la capacité du GCHQ à surveiller tout le trafic passant par les fibres optiques a fait de la Grande-Bretagne une superpuissance du renseignement depuis 2008.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 22-06-2013)

lundi 17 juin 2013

En 2009 lors du G20, les communications des délégations étrangères ont été interceptées par les services britanniques...

L'agence des services secrets britanniques Government Communications Headquarters aurait utilisé des capacités révolutionnaires de renseignement pour contrôler les communications des personnalités qui ont participé au G20 en avril 2009, selon des documents dont a eu connaissance le quotidien The Guardian. Ces documents suggèrent que les services de renseignement ont installé des cafés Internet où ils pouvaient intercepter les communications et surveiller les messages email et les appels téléphoniques passés par les appareils des délégués. L'agence avait également installé un dispositif permettant de savoir quand les délégués se contactaient les uns les autres et elle avait ciblé certaines personnalités, en particulier le ministre des Finances turc, selon les documents dont le journal a eu connaissance. Les ordinateurs sud-africains ont également été identifiés pour être l'objet d'une attention spéciale. Selon la même source, l'agence GCHQ a reçu un rapport de son homologue américaine la National Security Agency sur ses tentatives pour écouter le président russe de l'époque, Dmitry Medvedev, faire un appel à Moscou par satellite. D'après des documents transmis par Snowden au journal, le Premier ministre alors en fonction, Gordon Brown, avait autorisé ces écoutes.
(Kol Israël, le 17-06-2013)

samedi 8 juin 2013

Le GCHQ britannique pourrait être impliqué dans le programme d'espionnage américain PRISM...

Au Royaume-Uni, l'agence officielle chargée des écoutes va remettre dans les prochains jours un rapport au parlement pour éclaircir ses liens éventuels avec le programme PRISM d'espionnage Internet, l'un des programmes utilisés par les services de renseignement américains pour surveiller les communications.
(Deutsche Welle, le 08-06-2013)

vendredi 7 juin 2013

L'Américain Verizon contraint de livrer à la NSA des millions de relevés téléphoniques...

Aux États-Unis le directeur du renseignement américain James Clapper estime que les fuites sur la pratique consistant à récolter des millions de relevés téléphoniques révélées par la presse menaçaient la sécurité nationale. Le quotidien britannique The Guardian a publié récemment une ordonnance de justice secrète forçant l'opérateur américain Verizon à livrer à l'Agence nationale de sécurité, sur demande du FBI, la totalité des données téléphoniques de ses abonnés entre le mois d'avril et le mois de juillet. Dans un communiqué M. Clapper a indiqué que la divulgation non autorisée de cette ordonnance pose une menace essentielle aux États-Unis à identifier et à répondre aux risques auxquels est confronté l'Amérique.
(La voix de l'Amérique, le 07-06-2013)

lundi 29 avril 2013

Dans une interception téléphonique de 2011 Tamerlan Tsarnaev aurait évoqué le djihad avec sa mère...

Les législateurs américains affirment que les enquêteurs sur les attentats du marathon de Boston poursuivent des personnes d'intérêt aux États-Unis, des personnes qui pourraient avoir des liens avec les attentats. S'exprimant dimanche sur la chaîne de télévision ABC le président de la commission des renseignements de la chambre des représentants Mike Rodgers n'a pas fourni de détails, mais il a affirmé qu'une meilleure coopération avec la Russie était nécessaire pour enquêter sur les mouvements des deux suspects qui ont eu des liens avec la Tchétchénie et le Daguestan. Selon de nouveaux détails, l'un des suspects qui est décédé, Tamerlan Tsarnaev, a parlé à sa mère en 2011 de djihad lors d'un appel téléphonique intercepté par les autorités russes. Selon la chaîne CBS News, ce n'est que ces derniers jours que les enquêteurs américains ont appris l'existence de cet appel téléphonique.
(La voix de l'Amérique, le 29-04-2013)

lundi 22 avril 2013

Vaste campagne de recrutement lancée par le Mossad...

Le Mossad, le service de renseignements israélien, a lancé ces derniers jours une campagne d’envergure pour le recrutement d’espions, rapporte le journal israélien, Yediot Aharonot, relayé par le site d’arabs48.com.
Yediot Aharonot a qualifié cette campagne « de la plus vaste menée par le Mossad au cours de ces dernières années sur les sites Internet et les réseaux sociaux. »La campagne qui s’intitule « Avec pareils ennemis, nous avons besoin d’amis », dirige vers le site Internet du Mossad, et vers une longue liste de professions, dans lesquelles l’Institut des renseignements israéliens compte recruter.Selon Yediot Aharonot, le Mossad spécifie dans son annonce « les caractéristiques du profil recherché, dont les dispositions pour l’aventure, et la prise de risques, et un mode de vie non-routinier ».« Est demandé hommes et femmes, créateurs, aimant le défi pour une fonction importante, extraordinaire et dynamique », indique l’annonce du Mossad.

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mardi 12 mars 2013

Un agent du Mossad aurait utilisé son passeport australien pour des missions d'assassinats dans les pays arabes...

Ben Zygier, qui avait la double nationalité australienne et israélienne, aurait été un agent du Mossad, les services secrets israéliens. Il est mort en décembre 2010, pendu dans la cellule la plus surveillée d'Israël, une cellule spécialement construite pour l'assassin du Premier ministre Yitzhak Rabin. Assassiné ou suicidé, voilà l'une des questions sans réponses soulevées par un grand reportage de l'ABC le 12 février dernier. À l'époque, l'agent Ben Zygier était la cible d'une enquête menée par l'ASIO, les services de renseignement australiens, qui le soupçonnaient d'avoir utilisé son passeport australien pour mener à bien des assassinats dans des pays arabes. Entre son arrestation en février et sa mort en décembre 2010, Ben Zygier a été maintenu au secret, les gardiens ne le connaissaient que sous le nom de Prisonnier X. Les services diplomatiques australiens n'auraient pas été prévenus. Et Ben Zygier lui-même ne leur a pas demandé leur aide. Néanmoins, le silence de la diplomatie australienne est, selon les mots mêmes de l'actuel ministre des Affaires étrangères, Bob Carr, une grande erreur. Son ministère, à l'époque dirigé par Stephen Smith, n'était pas au courant de l'arrestation de Ben Zygier. Stephen Smith ne se souvient pas avoir été briefé sur le cas Zygier. Pas plus que son Premier ministre d'alors, Kevin Rudd. Sauf que le ministre de la Justice, Robert Mc Clelland, a révélé récemment qu'il était au courant. Mais pour Ross Burns, ancien diplomate, il est tout à fait plausible que l'information ne soit pas remontée au ministre des Affaires étrangères.
(Radio Australie, le 12-03-2013)

lundi 11 mars 2013

Le nombre de cyberattaques visant la Chine en forte augmentation...

Selon des récentes statistiques du Centre national chinois de coordination des solutions techniques d'urgence de l'internet, le CNCERTCC, la Chine subit de plus en plus de cyberattaques et la moitié viennent des États-Unis. La Chine est touchée par trois formes de cyberattaques : La première à partir de chevaux de Troie, Trojan, ou de machines zombies depuis l'étranger. En 2012 selon le CNCERT, 73 286 adresses IP basées à l'étranger ont été utilisées pour le piratage de 14,19 millions d'adresses IP chinoises, dont 10,5 millions attaquées depuis des serveurs basés aux États-Unis, 780 000 en Corée du Sud et 778 000 en Allemagne.
(Radio Chine international, le 11-03-2013)

jeudi 28 février 2013

Tokyo veut améliorer le rôle de la radiodiffusion en cas de désastres naturels...

Au Japon, une commission gouvernementale chargée d'améliorer le rôle de la radio en cas de désastres naturels, a tenu sa première réunion.Des représentants de la NHK, de diffuseurs privés, de gouvernements locaux et d'experts en diffusion ont participé à cette rencontre au ministère de la Gestion publique mercredi. Les diffuseurs ont parlé de leur expérience lors du grave séisme qui a touché le nord-est du Japon en mars 2011. Selon eux, la radiodiffusion a joué un rôle important pour fournir de l'information. Ils soulignent toutefois que les transmetteurs AM se trouvent dans des zones à faible altitude et sont vulnérables aux tsunamis et aux inondations. Les membres du comité discuteront de mesures pour protéger les transmetteurs radio en cas de désastres. Ils veulent aussi améliorer la qualité des signaux radio pour que les citoyens puissent bien les capter, quel que soit l'endroit où ils habitent.
(Radio Japon international, le 28-02-2013)

vendredi 22 février 2013

Le plus grand centre écoute américain se trouverait dans l'Utah...

Les agences de presse font état du déploiement du plus grand centre d'espionnage électronique et d'écoutes aux États-Unis. L'Agence de sécurité nationale américaine a construit un centre secret destiné à l'écoute des communications électroniques, qui est le plus grand dans son genre, dans l'Utah, dans le sud-ouest des États-Unis. Le centre est entré en fonction depuis le 6 janvier 2011. Le déploiement de ce centre a coûté deux milliards de dollars. Ce centre est destiné à détecter et à enregistrer les communications électroniques.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 22-02-2013)

jeudi 21 février 2013

Au Zimbabwe, distribution de postes radios spéciaux utilisés à des fins de propagande...

La police du Zimbabwe est à la recherche de postes radios distribués à la population. Postes qui, selon elle, sont spécialement conçus et sont illégaux. La porte-parole des forces de l'ordre a accusé des groupes anonymes de distribuer des appareils afin de diffuser des messages de haine et influencer les élections à venir. La police a saisi des centaines de transistors chez un juriste proche du Premier ministre Morgan Tsvangirai.
(La voix de l'Amérique, le 21-02-2013)

jeudi 14 février 2013

La France serait en mesure de contrôler les communications téléphoniques dans différents pays d'Afrique dont le Mali...

On apprend que le président français, François Hollande, a demandé au groupe Vivendi, une multinationale française spécialisée dans la communication et le divertissement, de surseoir à la mise en vente des 53% de parts qu'il détient dans le capital de Maroc Telecom au profit de l'opérateur qatari Qtel. Le motif de cette demande s'inscrit dans le répertoire sécuritaire de la guerre au Mali. Les stratèges de l'armée française poussent leur gouvernement à faire en sorte que Vivendi demeure copropriétaire de l'opérateur marocain, lui-même propriétaire de plusieurs opérateurs au Mali, en Mauritanie ou encore au Burkina Faso. À travers Vivendi la France souhaite donc garder le contrôle des réseaux de télécommunications dans toute cette région durant toute l'intervention militaire. Les militaires français veulent intercepter la totalité des conversations téléphoniques ou électroniques des djihadistes d'AQMI ou du MUJAO, qu'elles soient émises par des portables ou qu'elles soient filaires. Le renseignement électronique, très utile dans la localisation et la neutralisation des cibles identifiées, s'invite donc dans cette guerre du Sahel. Selon des sources militaires fiables, les forces aériennes françaises se sont bien gardées de bombarder les antennes BTS téléphoniques et le reste des infrastructures de télécommunications installées dans les villes contrôlées par les islamistes. Les forces spéciales pourront alors compter sur l'aide de l'opérateur pour contrôler les communications entre les centres de commandement et les djihadistes, au lieu de les couper. D'où cette lourde insistance du palais de l’Élysée à tout faire pour empêcher les Qataris de prendre le contrôle des infrastructures télécoms maliennes. (La voix de la République islamique d'Iran, le 14-02-2013)