Le magazine Foreign Policy rapporte que les services de renseignement américains sont parvenus à intercepter une conversation entre un haut responsable du ministère syrien de la Défense et un responsable de l'unité des armes chimiques quelques heures après la toute première attaque à l'arme chimique. Une conversation qui, selon le magazine, reflétait la panique.
(Kol Israël, le 28-08-2013)
mercredi 28 août 2013
lundi 26 août 2013
Special Collection Service : 80 ambassades américaines abriteraient une cellule de la NSA...
Selon le journal allemand Der Spiegel la NSA a également écouté les diplomates des Nations unies et ce en piratant les visioconférences de l'ONU. C'est vraiment de l'espionnage tous azimuts et sur une grande échelle qui est reproché à la NSA. Selon les documents en possession du Spiegel les spécialistes de l'agence américaine sont parvenus à s'introduire dans le circuit interne de visioconférence des Nations unies et à suivre comme si ils y étaient les conversations échangées entre les diplomates. Le système bien sûr est protégé par un dispositif de chiffrage très élaboré, mais la NSA, en réalisant une véritable performance technologique, a réussi l'an dernier à casser les codes utilisés à l'ONU. Ainsi elle a pu espionner en une seule semaine plus de 450 communications hautement confidentielles. Et on apprend non sans stupeur que les agents américains auraient pris sur le fait des espions chinois se livrant exactement à la même activité envers les diplomates des Nations unies. Par ailleurs l'hebdomadaire allemand connu pour le sérieux de ses sources d'informations donne des précisions sur le rôle des ambassades américaines dans le dispositif de la NSA. Dans 80 de ces ambassades l'agence aurait mis en place une cellule d'espionnage baptisée Special Collection Service et chargée de surveiller les communications dans le pays d'accueil. De telles activités devaient absolument rester secrètes sous peine de provoquer d'importants dégâts dans les relations avec les pays concernés, peut on lire également dans l'un des documents émanant de la NSA.
(Médi-1, le 26-08-2013)
(Médi-1, le 26-08-2013)
samedi 17 août 2013
Un audit interne de la NSA montrerait que l'agence falsifie ses rapports destinés au ministère de la Justice...
D'après l'audit interne de la NSA obtenu par le Washington Post, l'Agence nationale de sécurité a commis pas moins de 2776 infractions aux lois et règlements qui la régissent entre mai 2011 et mai 2012. Ces infractions, que la NSA appelle pudiquement des incidents, sont des violations des lois sur le respect de la vie privée, des violations de décisions de justice rendues par le tribunal secret chargé d'autoriser les écoutes de la NSA, ainsi que des violations de différents règlements administratifs y compris de décrets présidentiels. Le rapport interne dévoilé par le Washington Post met la plupart des infractions sur le compte d'erreurs informatiques ou humaines. Mais l'audit interne et d'autres documents Top Secret consultés pat le quotidien de la capitale américaine, montrent que la NSA falsifie les rapports qu'elle est obligée de faire sur ses activités au ministère de la Justice, au Directeur national des services de renseignement et au Congrès. Le rapport souligne que les employés de la NSA ont reçu des instructions qui les invitent à falsifier leurs compte-rendus. Mais l'audit interne ne précise pas d'où viennent ces instructions.
(Radio Vatican, le 17-08-2013)
(Radio Vatican, le 17-08-2013)
vendredi 2 août 2013
Confirmation de l'étroitesse des relations et de l'interdépendance entre le GCHQ et la NSA...
Le gouvernement américain aurait versé au moins 100 millions de Livres à l'agence d'espionnage britannique GCHQ au cours des trois dernières années, révèle jeudi le quotidien britannique The Guardian sur son site internet. L'objectif de la National Security Agency (NSA), l'agence de renseignement américaine, était de sécuriser l'accès aux renseignements britanniques et d'influer sur ses programmes de collecte de renseignements. Ces paiements Top Secret énoncés dans des documents que le journal s'est procuré soulignent l'étroitesse des relations et l'interdépendance entre le GCHQ et son homologue américain de la NSA. La NSA aurait par exemple financé pour plus de 15 millions de Livres le développement du site du GCHQ à Bude, dans le Cornwall, dévolu aux interceptions de communications transatlantiques.
(La voix de la République islamique d'Iran, le 02-08-2013)
(La voix de la République islamique d'Iran, le 02-08-2013)
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